Abidjan (Côte d’Ivoire) - L’attaque terroriste de la ville balnéaire de Grand-Bassam (20 km au Sud d’Abidjan) le 13 mars 2016 avec une vingtaine de morts et plusieurs blessés est incontestablement le fait le plus marquant au plan sécuritaire en Côte d’Ivoire.
L'attaque revendiquée par Al-qaïda au maghreb islamique (AQMI) a fait 19 morts dont 3 soldats des forces spéciales de l'armée ivoirienne et plus de 33 blessés. En outre, 3 terroristes ont été abattus.
Cette attaque terroriste, la première du genre dans le pays, a engendré un renforcement de la sécurité au niveau des édifices publics et privés notamment les hôtels où des postiches de sécurité y ont été installés.
Les autorités ivoiriennes tout en appelant à la vigilance ont demandé aux populations de vaquer à leur occupation.
« J’ai donné des instructions fermes pour que le dispositif de sécurité soit encore plus renforcé sur toute l’étendue du territoire national notamment sur la côte et à nos frontières (…) je demande à tous et à toute de ne pas céder à la peur », avait invité Alassane Ouattara au cours d’un message télévisé quelques heures après ces attentats.
Les investigations sur cette attaque de la première capitale politique ivoirienne, classée dans le patrimoine mondial de l’UNESCO a conduit à l’arrestation de plusieurs personnes dont deux militaires accusé « d’avoir côtoyés les terroristes ».
Auparavant, une loi de programmation militaire a été adoptée le 11 janvier. Elle se compose de « 20 articles traitant outre des dispositions générales des mesures concernant la dynamique de la réforme et de mesures portant sur les dispositions finales ».
Cette loi prend en compte des forces armées nationales de Côte d’Ivoire, la réorganisation du commandement, la consolidation du cadre du cadre institutionnel et l’amélioration des conditions de vie et de travail.
Pour cette nouvelle la loi de programmation militaire, c’est un budget de 2. 254 milliards de Fcfa ; 60% soit 1452,6 de FCFA destiné au fonctionnement et 40 % soit et 800 milliards aux investissements soit 40 %.
Par ailleurs en juin 2016, ce sont 18 filles parmi les 398 élèves sous-officiers de la promotion 2015-2017 qui ont intégré les rangs de la gendarmerie nationale .Une première dans ce pays qui intègre ainsi la gente féminine dans ce corps d’élite.
En novembre dernier, le ministre ivoirien auprès du Président de la République chargé de la défense, Alain-Richard Donwahi a annoncé officiellement le changement du nom de l’armée ivoirienne, au cours d’une session internationale de réflexion stratégique portant sur une approche prospective africaine des menaces sécuritaires transnationales.
Des forces républicaines de Côte d’Ivoire (FRCI), cette armée est devenue les Forces armées de Côte d’Ivoire (FACI).
Justifiant cette nouvelle donne, le ministre Donwahi a soutenu que cette dénomination fait suite à la nouvelle loi de juin 2016 ’’portant organisation de la défense et des forces armées de Côte d’Ivoire’’.
« Aujourd’hui, il n’y a plus besoin d’ajouter +républicaines+. On évolue avec son temps, son environnement », avait précisé Alain-Richard Donwahi.
A la fin de cette année, on enregistre une attaque d’un village ivoirien Kpeaba, situé dans la frontière ivoiro-guinéenne, dans la nuit de 21 au 22 décembre par des assaillants qui seraient venus de la Guinée.
SY/ls/APA
L'attaque revendiquée par Al-qaïda au maghreb islamique (AQMI) a fait 19 morts dont 3 soldats des forces spéciales de l'armée ivoirienne et plus de 33 blessés. En outre, 3 terroristes ont été abattus.
Cette attaque terroriste, la première du genre dans le pays, a engendré un renforcement de la sécurité au niveau des édifices publics et privés notamment les hôtels où des postiches de sécurité y ont été installés.
Les autorités ivoiriennes tout en appelant à la vigilance ont demandé aux populations de vaquer à leur occupation.
« J’ai donné des instructions fermes pour que le dispositif de sécurité soit encore plus renforcé sur toute l’étendue du territoire national notamment sur la côte et à nos frontières (…) je demande à tous et à toute de ne pas céder à la peur », avait invité Alassane Ouattara au cours d’un message télévisé quelques heures après ces attentats.
Les investigations sur cette attaque de la première capitale politique ivoirienne, classée dans le patrimoine mondial de l’UNESCO a conduit à l’arrestation de plusieurs personnes dont deux militaires accusé « d’avoir côtoyés les terroristes ».
Auparavant, une loi de programmation militaire a été adoptée le 11 janvier. Elle se compose de « 20 articles traitant outre des dispositions générales des mesures concernant la dynamique de la réforme et de mesures portant sur les dispositions finales ».
Cette loi prend en compte des forces armées nationales de Côte d’Ivoire, la réorganisation du commandement, la consolidation du cadre du cadre institutionnel et l’amélioration des conditions de vie et de travail.
Pour cette nouvelle la loi de programmation militaire, c’est un budget de 2. 254 milliards de Fcfa ; 60% soit 1452,6 de FCFA destiné au fonctionnement et 40 % soit et 800 milliards aux investissements soit 40 %.
Par ailleurs en juin 2016, ce sont 18 filles parmi les 398 élèves sous-officiers de la promotion 2015-2017 qui ont intégré les rangs de la gendarmerie nationale .Une première dans ce pays qui intègre ainsi la gente féminine dans ce corps d’élite.
En novembre dernier, le ministre ivoirien auprès du Président de la République chargé de la défense, Alain-Richard Donwahi a annoncé officiellement le changement du nom de l’armée ivoirienne, au cours d’une session internationale de réflexion stratégique portant sur une approche prospective africaine des menaces sécuritaires transnationales.
Des forces républicaines de Côte d’Ivoire (FRCI), cette armée est devenue les Forces armées de Côte d’Ivoire (FACI).
Justifiant cette nouvelle donne, le ministre Donwahi a soutenu que cette dénomination fait suite à la nouvelle loi de juin 2016 ’’portant organisation de la défense et des forces armées de Côte d’Ivoire’’.
« Aujourd’hui, il n’y a plus besoin d’ajouter +républicaines+. On évolue avec son temps, son environnement », avait précisé Alain-Richard Donwahi.
A la fin de cette année, on enregistre une attaque d’un village ivoirien Kpeaba, situé dans la frontière ivoiro-guinéenne, dans la nuit de 21 au 22 décembre par des assaillants qui seraient venus de la Guinée.
SY/ls/APA