Abidjan - Un indépendant a remporté le dernier siège du Parlement ivoirien qui n'avait pas été attribué aux dernières législatives, a annoncé vendredi la Commission électorale indépendante (CEI), portant à 76 le nombre d'indépendants.
La coalition soutenant le président Alassane Ouattara conserve la majorité absolue à l'Assemblée nationale avec 167 sur 255 sièges.
Le vote a été repris jeudi dans la circonscription de Guiglo, sous-préfecture où deux candidats étaient arrivés ex-aequo après le scrutin du 18 décembre dernier.
Le candidat indépendant Léonard Guéi a obtenu 52,61% des voix, battant son adversaire Marius Sarr 47,39% de la coalition au pouvoir (RHDP).
Le RDHP compte au total 167 députés, les Indépendants 76, l'UDPCI 6, l'UPCI 3 et le FPI (le parti de l'ex président Laurent Gbagbo) 3.L'Assemblée ivoirienne compte 225 hommes et 29 femmes.
Ces législatives ont été les premières élections à se tenir sous la IIIe
République ivoirienne, après l'adoption d'une nouvelle Constitution en octobre à l'initiative du président Ouattara, réélu un an auparavant pour un deuxième et dernier mandat.
Dans ce scrutin à tour unique, la coalition présidentielle visait la majorité absolue même si elle a du faire face à de nombreuses candidatures
dissidentes et à une opposition. Cette dernière, qui avait boycotté les précédentes législatives de 2011, espérait faire son retour au Parlement.
eak/jlb
La coalition soutenant le président Alassane Ouattara conserve la majorité absolue à l'Assemblée nationale avec 167 sur 255 sièges.
Le vote a été repris jeudi dans la circonscription de Guiglo, sous-préfecture où deux candidats étaient arrivés ex-aequo après le scrutin du 18 décembre dernier.
Le candidat indépendant Léonard Guéi a obtenu 52,61% des voix, battant son adversaire Marius Sarr 47,39% de la coalition au pouvoir (RHDP).
Le RDHP compte au total 167 députés, les Indépendants 76, l'UDPCI 6, l'UPCI 3 et le FPI (le parti de l'ex président Laurent Gbagbo) 3.L'Assemblée ivoirienne compte 225 hommes et 29 femmes.
Ces législatives ont été les premières élections à se tenir sous la IIIe
République ivoirienne, après l'adoption d'une nouvelle Constitution en octobre à l'initiative du président Ouattara, réélu un an auparavant pour un deuxième et dernier mandat.
Dans ce scrutin à tour unique, la coalition présidentielle visait la majorité absolue même si elle a du faire face à de nombreuses candidatures
dissidentes et à une opposition. Cette dernière, qui avait boycotté les précédentes législatives de 2011, espérait faire son retour au Parlement.
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