Ivoiriens, Ivoiriennes, mes chers compatriotes,
Nous voilà par la grâce de Dieu au terme de cette année 2016, portés par l’assurance et la foi d’avoir vu s’illuminer les rayons de soleil de l’année 2017 et, qui, je l’espère, apportera, à chacun et à chacune de vous, l’exaucement de vos prières et de vos vœux les plus ardents. Qu’il me soit donc permis d’en saisir la portée et l’occasion pour vous souhaiter, à tous et à toutes, une bonne et heureuse année 2017, à vos familles, de même qu’à nos frères et sœurs étrangers vivant en Côte d’Ivoire.
Mes chers compatriotes,
Il ne vous a point échappé que l’année 2016, qui s’est achevée, fut comme les précédentes, voire pire depuis 2011, date d’accession par les armes au pouvoir par M. Alassane OUATTARA. L’année passée fut tout aussi morose sur plusieurs plans dans notre pays.
Sur le plan socio-économique, l’Émergence annoncée à grands renforts médiatiques, et le miracle économique qui devait en être la résultante, s’est muée en un mirage économique qui plonge chaque jour nos concitoyens dans la pauvreté. Le taux de croissance annoncé de 9,8% pour l’année 2016 avec une évolution du Budget de l’Etat à près de 86% comparativement au budget de l’année 2015 et d’un surendettement record estimé à plus de 7000 milliards de nos francs, n’ont eu, jusque-là, aucun impact concret sur le quotidien des ivoiriens qui continuent de survivre face à une minorité dans les rouages du pouvoir, déconnecté de la réalité et qui s’enrichit de plus en plus. Les effets d’annonces aux objectifs de communication politicienne n’arrivent nullement à effacer la réalité des ivoiriens qui font face à une vie de plus en plus chère avec l’augmentation des denrées de première nécessité sur les marchés, à l’augmentation des factures d’eau et d’électricité ayant occasionné des manifestations de rue même dans les zones prétendument considérées comme des bastions du Régime en place. Malheureusement pour les ivoiriens, leurs revendications auront pour réponse du pouvoir de M. Ouattara une autre augmentation prévue dès Janvier 2017. Les ivoiriens continuent de faire face au chômage grandissant de nos jeunes à qui l’on avait pourtant promis des millions d’emplois qui sont de plus en plus poussés à quitter la Côte d’Ivoire pour tenter de rejoindre l’occident par la mer à la recherche d’un bien être, aventure qui malheureusement se solde par de nombreux morts. La société ivoirienne s’effrite par l’apparition de nouveaux défis au plan sécuritaire avec l’apparition d’un phénomène nouveau appelé « Microbes » ; ceux-ci dépossédant, tuant et égorgeant d’innocents citoyens en toute impunité face à un pouvoir complice. Les ivoiriens restent marqués par les attaques terroristes jamais vécues en Côte d’Ivoire à Grand Bassam au mois de Mars 2016 ainsi que des récents meurtres de gendarmes dans le Nord du pays. À ses différents défis sécuritaires, le régime d’Abidjan démontre, si besoin l’était, son incapacité à trouver des solutions véritables et durables.
Sur le plan politique dans un contexte de répression quasi constante des manifestations pacifiques de l’opposition, de violations quotidiennes des libertés individuelles, de déchirement du tissu social, les ivoiriens se regardent encore en chien de faïence prouvant l’échec de la politique de réconciliation avec toujours des milliers d’ivoiriens qui continuent d’être contraints à l’exil. Dans notre pays, il existe encore Plus de deux-cent ivoiriens qui sont enfermés dans les geôles du pays du seul fait de leurs opinions politiques parmi lesquels figurent des personnalités de premier plan militaires comme civiles et de nombreux ivoiriens anonymes sans procès. Quand même le pouvoir se décide, pour certains cas, à les juger, ce sont des simulacres de procès qui sont offerts au monde et qui raffermissent l’idée d’une justice aux ordres, d’une justice embrigadée servant d’outil de répression des opposants au régime. Loin de sa terre natale, le Président Laurent GBAGBO, continue de se battre lui aussi dans un simulacre de procès pour lequel le pouvoir de M. Alassane OUATTARA et ses alliés directs et indirects mettent tout en œuvre sans jusque-là réussir à vouloir l’incriminer et salir son image pour le faire condamner. Malgré tout, le Président Laurent GBAGBO continue d’être au centre de la politique ivoirienne, africaine et même mondiale, toujours en phase avec son Peuple qui a réclamé sa libération à travers le monde par une pétition internationale qui a recueilli plus de 26 millions de signatures. Toujours sur le plan politique, durant cette année 2016, le régime en Côte d’Ivoire a imposé aux ivoiriens une nouvelle Constitution sur mesure afin de pérenniser ses intérêts, les intérêts d’un clan au pouvoir. Plus que jamais, notre pays est divisé voilà pourquoi nous avons refusé de nous taire et ainsi d’être des complices silencieux des dangers qui nous guettent et qui pointent à l’horizon. Souvent seul, parfois en coalition avec d’autres partis politiques désireux de ne point se laisser embarquer dans des compromissions avilissantes, notre Parti, l’Union des Nouvelles Générations, a toujours relevé la tête de la dignité pour être aux côtés des ivoiriens dans la rue (lors des différentes marches de protestation contre le Référendum) pour dire NON à cette dictature destructrice contre laquelle une grande majorité de nos concitoyens s’est levée à l’appel de la véritable opposition pour refuser de légitimer les forfaitures de cette dictature, en boycottant les scrutins auxquels les citoyens ont été appelés notamment le Référendum(un taux de participation inférieur à 10% selon les observateurs et environ de 40% selon la CEI) et les élections législatives.
Sur le plan de l’éducation, les réformes tous azimuts annoncées et mises en œuvre (la réforme des cours les Mercredi au Primaire à titre d’exemple) sans y associer les acteurs ont provoqué de nombreuses grèves. Face aux revendications corporatistes des acteurs de ce secteur, le pouvoir actuel a toujours servi des menaces voire des ponctions et suspensions de salaires, signe de son incompétence à faire face aux nombreux problèmes qui touchent ce secteur sensible de notre pays.
Dans ce tableau d’une Côte d’Ivoire en arrêt, il faudra néanmoins saluer une embellie sportive avec la joie procurée au peuple ivoirien par nos sportifs olympiques à l’occasion des jeux olympiques de Rio au Brésil.
Au niveau International et sur le continent africain, je voudrais saisir cette occasion pour saluer les changements démocratiques apaisés qui ont eu lieu au Bénin, au Ghana, au Nigeria… J’ai espoir que ces changements ne sauraient remettre en cause le principe de protection des États des personnes expatriées ou protégées et exilées dans ces pays afin qu’ils continuent à leur assurer une meilleure sécurité et intégration. Concernant la situation en Gambie, à ce moment crucial où des voix s’élèvent pour une intervention armée, je voudrais en appeler au sens de responsabilité des Etats de la CEDEAO pour éviter que le sang des gambiens ne soit versé et que la négociation soit le chemin à privilégier pour une solution de sortie de crise post-électorale. En dehors du continent africain, les dirigeants du monde devraient tirer, tous autant qu’ils sont, les leçons de la guerre en Syrie et l’échec de vouloir renverser un Chef d’Etat en exercice. Nous espérons que cette crise qui continue de faire des victimes innocentes trouvera une solution rapide comme nous le constatons actuellement bien heureusement. 2016 a aussi été marqué par une grande leçon démocratique avec la décision de sortir de l l’Union européenne (le Brexit ) du peuple anglais et de l’élection du Républicain Donald Trump au moment où tout le monde occidental avait espéré le contraire. Ces deux cas précités nous démontrent fort bien que le Peuple dans une Démocratie demeure souverain.
Mes chers compatriotes,
Face à ce bilan non exhaustif de notre pays mais tout aussi calamiteux, 2017 ne plombera nullement notre posture : celle d’être toujours aux côtés du Peuple, aux côtés des plus vulnérables ; toujours debout pour le combat de la souveraineté vraie et de la démocratie réelle en Côte d’Ivoire, en Afrique et dans le monde.
A mes camarades militants et militantes de l’UNG et alliés de la gauche,
Je voudrais vous appeler à la confiance et vous rassurez car de façon sûre et certaine quel que soit le temps que cela prendra notre combat portera car nous sommes dans la vérité. Notre détermination et notre loyauté sont les gages de notre victoire. Du succès politique imminent, nous bâtirons ensemble la Côte d’Ivoire des Nouvelles Générations que nous appelons de nos vœux et pour laquelle nous consentons autant de sacrifices. Je puis vous assurer à mon niveau que je demeure résolument engagé à continuer le combat sans fléchir pour la restauration de la Côte d’Ivoire.
Chers compatriotes, ivoiriens, ivoiriennes,
Henri JEANSON, un célèbre écrivain français du 20e Siècle affirmait au sujet de la lutte pour la liberté que : « Nous n’avons qu’une liberté : la liberté de nous battre pour conquérir la liberté ». Nous devons donc continuer la lutte sans jamais corrompre nos idéaux et nos convictions. Demeurons fortifiés et fermes car inéluctablement le bout du tunnel n’est pas loin. Le combat politique tracé par le Président Laurent GBAGBO dans lequel nous nous inscrivons nous impose, la fidélité la rigueur, l’union idéologique, l’endurance, la ferveur militante, le compromis politique et non les compromissions. Bientôt oui très bientôt, tous ensemble, nous moissonnerons avec allégresse, dans une Côte d’Ivoire réconciliée avec elle-même, les fruits de notre engagement et amour pour notre beau pays. Gardons espoir et foi en cette Côte d’Ivoire.
Une fois de plus, je vous souhaite à tous et à toutes une bonne et heureuse année 2017.
Que DIEU bénisse la Côte d’Ivoire.
Que DIEU bénisse l’Union des Nouvelles Générations.
C’est DIEU qui est fort
Je vous remercie.
Stéphane KIPRE
Président de l’Union des Nouvelles Générations (UNG)
Exilé Politique.
Nous voilà par la grâce de Dieu au terme de cette année 2016, portés par l’assurance et la foi d’avoir vu s’illuminer les rayons de soleil de l’année 2017 et, qui, je l’espère, apportera, à chacun et à chacune de vous, l’exaucement de vos prières et de vos vœux les plus ardents. Qu’il me soit donc permis d’en saisir la portée et l’occasion pour vous souhaiter, à tous et à toutes, une bonne et heureuse année 2017, à vos familles, de même qu’à nos frères et sœurs étrangers vivant en Côte d’Ivoire.
Mes chers compatriotes,
Il ne vous a point échappé que l’année 2016, qui s’est achevée, fut comme les précédentes, voire pire depuis 2011, date d’accession par les armes au pouvoir par M. Alassane OUATTARA. L’année passée fut tout aussi morose sur plusieurs plans dans notre pays.
Sur le plan socio-économique, l’Émergence annoncée à grands renforts médiatiques, et le miracle économique qui devait en être la résultante, s’est muée en un mirage économique qui plonge chaque jour nos concitoyens dans la pauvreté. Le taux de croissance annoncé de 9,8% pour l’année 2016 avec une évolution du Budget de l’Etat à près de 86% comparativement au budget de l’année 2015 et d’un surendettement record estimé à plus de 7000 milliards de nos francs, n’ont eu, jusque-là, aucun impact concret sur le quotidien des ivoiriens qui continuent de survivre face à une minorité dans les rouages du pouvoir, déconnecté de la réalité et qui s’enrichit de plus en plus. Les effets d’annonces aux objectifs de communication politicienne n’arrivent nullement à effacer la réalité des ivoiriens qui font face à une vie de plus en plus chère avec l’augmentation des denrées de première nécessité sur les marchés, à l’augmentation des factures d’eau et d’électricité ayant occasionné des manifestations de rue même dans les zones prétendument considérées comme des bastions du Régime en place. Malheureusement pour les ivoiriens, leurs revendications auront pour réponse du pouvoir de M. Ouattara une autre augmentation prévue dès Janvier 2017. Les ivoiriens continuent de faire face au chômage grandissant de nos jeunes à qui l’on avait pourtant promis des millions d’emplois qui sont de plus en plus poussés à quitter la Côte d’Ivoire pour tenter de rejoindre l’occident par la mer à la recherche d’un bien être, aventure qui malheureusement se solde par de nombreux morts. La société ivoirienne s’effrite par l’apparition de nouveaux défis au plan sécuritaire avec l’apparition d’un phénomène nouveau appelé « Microbes » ; ceux-ci dépossédant, tuant et égorgeant d’innocents citoyens en toute impunité face à un pouvoir complice. Les ivoiriens restent marqués par les attaques terroristes jamais vécues en Côte d’Ivoire à Grand Bassam au mois de Mars 2016 ainsi que des récents meurtres de gendarmes dans le Nord du pays. À ses différents défis sécuritaires, le régime d’Abidjan démontre, si besoin l’était, son incapacité à trouver des solutions véritables et durables.
Sur le plan politique dans un contexte de répression quasi constante des manifestations pacifiques de l’opposition, de violations quotidiennes des libertés individuelles, de déchirement du tissu social, les ivoiriens se regardent encore en chien de faïence prouvant l’échec de la politique de réconciliation avec toujours des milliers d’ivoiriens qui continuent d’être contraints à l’exil. Dans notre pays, il existe encore Plus de deux-cent ivoiriens qui sont enfermés dans les geôles du pays du seul fait de leurs opinions politiques parmi lesquels figurent des personnalités de premier plan militaires comme civiles et de nombreux ivoiriens anonymes sans procès. Quand même le pouvoir se décide, pour certains cas, à les juger, ce sont des simulacres de procès qui sont offerts au monde et qui raffermissent l’idée d’une justice aux ordres, d’une justice embrigadée servant d’outil de répression des opposants au régime. Loin de sa terre natale, le Président Laurent GBAGBO, continue de se battre lui aussi dans un simulacre de procès pour lequel le pouvoir de M. Alassane OUATTARA et ses alliés directs et indirects mettent tout en œuvre sans jusque-là réussir à vouloir l’incriminer et salir son image pour le faire condamner. Malgré tout, le Président Laurent GBAGBO continue d’être au centre de la politique ivoirienne, africaine et même mondiale, toujours en phase avec son Peuple qui a réclamé sa libération à travers le monde par une pétition internationale qui a recueilli plus de 26 millions de signatures. Toujours sur le plan politique, durant cette année 2016, le régime en Côte d’Ivoire a imposé aux ivoiriens une nouvelle Constitution sur mesure afin de pérenniser ses intérêts, les intérêts d’un clan au pouvoir. Plus que jamais, notre pays est divisé voilà pourquoi nous avons refusé de nous taire et ainsi d’être des complices silencieux des dangers qui nous guettent et qui pointent à l’horizon. Souvent seul, parfois en coalition avec d’autres partis politiques désireux de ne point se laisser embarquer dans des compromissions avilissantes, notre Parti, l’Union des Nouvelles Générations, a toujours relevé la tête de la dignité pour être aux côtés des ivoiriens dans la rue (lors des différentes marches de protestation contre le Référendum) pour dire NON à cette dictature destructrice contre laquelle une grande majorité de nos concitoyens s’est levée à l’appel de la véritable opposition pour refuser de légitimer les forfaitures de cette dictature, en boycottant les scrutins auxquels les citoyens ont été appelés notamment le Référendum(un taux de participation inférieur à 10% selon les observateurs et environ de 40% selon la CEI) et les élections législatives.
Sur le plan de l’éducation, les réformes tous azimuts annoncées et mises en œuvre (la réforme des cours les Mercredi au Primaire à titre d’exemple) sans y associer les acteurs ont provoqué de nombreuses grèves. Face aux revendications corporatistes des acteurs de ce secteur, le pouvoir actuel a toujours servi des menaces voire des ponctions et suspensions de salaires, signe de son incompétence à faire face aux nombreux problèmes qui touchent ce secteur sensible de notre pays.
Dans ce tableau d’une Côte d’Ivoire en arrêt, il faudra néanmoins saluer une embellie sportive avec la joie procurée au peuple ivoirien par nos sportifs olympiques à l’occasion des jeux olympiques de Rio au Brésil.
Au niveau International et sur le continent africain, je voudrais saisir cette occasion pour saluer les changements démocratiques apaisés qui ont eu lieu au Bénin, au Ghana, au Nigeria… J’ai espoir que ces changements ne sauraient remettre en cause le principe de protection des États des personnes expatriées ou protégées et exilées dans ces pays afin qu’ils continuent à leur assurer une meilleure sécurité et intégration. Concernant la situation en Gambie, à ce moment crucial où des voix s’élèvent pour une intervention armée, je voudrais en appeler au sens de responsabilité des Etats de la CEDEAO pour éviter que le sang des gambiens ne soit versé et que la négociation soit le chemin à privilégier pour une solution de sortie de crise post-électorale. En dehors du continent africain, les dirigeants du monde devraient tirer, tous autant qu’ils sont, les leçons de la guerre en Syrie et l’échec de vouloir renverser un Chef d’Etat en exercice. Nous espérons que cette crise qui continue de faire des victimes innocentes trouvera une solution rapide comme nous le constatons actuellement bien heureusement. 2016 a aussi été marqué par une grande leçon démocratique avec la décision de sortir de l l’Union européenne (le Brexit ) du peuple anglais et de l’élection du Républicain Donald Trump au moment où tout le monde occidental avait espéré le contraire. Ces deux cas précités nous démontrent fort bien que le Peuple dans une Démocratie demeure souverain.
Mes chers compatriotes,
Face à ce bilan non exhaustif de notre pays mais tout aussi calamiteux, 2017 ne plombera nullement notre posture : celle d’être toujours aux côtés du Peuple, aux côtés des plus vulnérables ; toujours debout pour le combat de la souveraineté vraie et de la démocratie réelle en Côte d’Ivoire, en Afrique et dans le monde.
A mes camarades militants et militantes de l’UNG et alliés de la gauche,
Je voudrais vous appeler à la confiance et vous rassurez car de façon sûre et certaine quel que soit le temps que cela prendra notre combat portera car nous sommes dans la vérité. Notre détermination et notre loyauté sont les gages de notre victoire. Du succès politique imminent, nous bâtirons ensemble la Côte d’Ivoire des Nouvelles Générations que nous appelons de nos vœux et pour laquelle nous consentons autant de sacrifices. Je puis vous assurer à mon niveau que je demeure résolument engagé à continuer le combat sans fléchir pour la restauration de la Côte d’Ivoire.
Chers compatriotes, ivoiriens, ivoiriennes,
Henri JEANSON, un célèbre écrivain français du 20e Siècle affirmait au sujet de la lutte pour la liberté que : « Nous n’avons qu’une liberté : la liberté de nous battre pour conquérir la liberté ». Nous devons donc continuer la lutte sans jamais corrompre nos idéaux et nos convictions. Demeurons fortifiés et fermes car inéluctablement le bout du tunnel n’est pas loin. Le combat politique tracé par le Président Laurent GBAGBO dans lequel nous nous inscrivons nous impose, la fidélité la rigueur, l’union idéologique, l’endurance, la ferveur militante, le compromis politique et non les compromissions. Bientôt oui très bientôt, tous ensemble, nous moissonnerons avec allégresse, dans une Côte d’Ivoire réconciliée avec elle-même, les fruits de notre engagement et amour pour notre beau pays. Gardons espoir et foi en cette Côte d’Ivoire.
Une fois de plus, je vous souhaite à tous et à toutes une bonne et heureuse année 2017.
Que DIEU bénisse la Côte d’Ivoire.
Que DIEU bénisse l’Union des Nouvelles Générations.
C’est DIEU qui est fort
Je vous remercie.
Stéphane KIPRE
Président de l’Union des Nouvelles Générations (UNG)
Exilé Politique.