Le régime Ouattara ne rêve visiblement pas de voir Famoussa Coulibaly représenter les populations de Divo à l’Assemblée nationale. Pour parvenir à ses fins, le pouvoir aurait proposé le poste d’ambassadeur à Famoussa Coulibaly. L’information nous a été donnée, mercredi dernier, par Léonard Yoboué, président des enseignants militants de l’Udpci de Divo. Qui a participé à une réunion convoquée par le candidat Famoussa Coulibaly à Divo. Selon lui, l’ex-collaborateur du ministre Albert Mabri Toikeuse, Famoussa Coulibaly, a mis à nu le projet de corruption de sa personne par le pouvoir en place pour que le poste de député revienne au candidat du Rhdp, Koné Lassiné dit Bazo.
Selon Léonard Yoboué, le régime Ouattara ne serait pas à sa première tentative de corruption de Famoussa Coulibaly. « Nous étions à deux mois des élections législatives, quand un membre influent du Rhdp a, à travers un message au cours d’un voyage en Iran, demandé au ministre Albert Mabri Toikeuse de convaincre son collaborateur Famoussa Coulibaly d’abandonner son projet de candidature aux législatives à Divo», a-t-il révélé.
Avant de s’étendre sur les circonstances dans lesquelles l’invalidation des résultats des législatives de Divo a été portée à la connaissance des militants de l’Udpci. « Le dimanche dernier, nous célébrions le nouvel an quand au journal de 13h de la télévision ivoirienne, nous avons appris l’invalidation de la victoire de notre candidat Famoussa Coulibaly. Immédiatement, nous avons décidé de nous rendre à son domicile pour en savoir davantage. Mais il nous a été difficile de circuler dans les rues qui étaient prises d’assaut par les femmes, jeunes gens et hommes mécontents », précise-t-il.
Pour ce qui est de l’effigie du Rhdp que le candidat Famoussa Coulibaly aurait utilisé pour mener sa campagne, comme le lui reproche le conseil constitutionnel, Léonard Yoboué affirme que l’affiche brandie par les adversaires de Famoussa Coulibaly pour convaincre la Commission électorale indépendante (Cei) et le conseil constitutionnel est le fruit d’un « montage grossier » car selon lui, dans aucune rue de la ville de Divo, une affiche laissant admirer le candidat Famoussa Coulibaly et le président Alassane Ouattara n’a été placardée par l’équipe de campagne. A en croire les partisans de Famoussa Coulibaly, une reprise des élections législatives à Divo ne permettra jamais aux populations de tourner le dos à celui qu’elles ont élu, le dimanche 18 décembre 2016. Soulignons que les activités ont repris à Divo avec une forte présence des forces de l’ordre dans la villen
Doumbia Namory
Envoyé Spécial à Divo
Selon Léonard Yoboué, le régime Ouattara ne serait pas à sa première tentative de corruption de Famoussa Coulibaly. « Nous étions à deux mois des élections législatives, quand un membre influent du Rhdp a, à travers un message au cours d’un voyage en Iran, demandé au ministre Albert Mabri Toikeuse de convaincre son collaborateur Famoussa Coulibaly d’abandonner son projet de candidature aux législatives à Divo», a-t-il révélé.
Avant de s’étendre sur les circonstances dans lesquelles l’invalidation des résultats des législatives de Divo a été portée à la connaissance des militants de l’Udpci. « Le dimanche dernier, nous célébrions le nouvel an quand au journal de 13h de la télévision ivoirienne, nous avons appris l’invalidation de la victoire de notre candidat Famoussa Coulibaly. Immédiatement, nous avons décidé de nous rendre à son domicile pour en savoir davantage. Mais il nous a été difficile de circuler dans les rues qui étaient prises d’assaut par les femmes, jeunes gens et hommes mécontents », précise-t-il.
Pour ce qui est de l’effigie du Rhdp que le candidat Famoussa Coulibaly aurait utilisé pour mener sa campagne, comme le lui reproche le conseil constitutionnel, Léonard Yoboué affirme que l’affiche brandie par les adversaires de Famoussa Coulibaly pour convaincre la Commission électorale indépendante (Cei) et le conseil constitutionnel est le fruit d’un « montage grossier » car selon lui, dans aucune rue de la ville de Divo, une affiche laissant admirer le candidat Famoussa Coulibaly et le président Alassane Ouattara n’a été placardée par l’équipe de campagne. A en croire les partisans de Famoussa Coulibaly, une reprise des élections législatives à Divo ne permettra jamais aux populations de tourner le dos à celui qu’elles ont élu, le dimanche 18 décembre 2016. Soulignons que les activités ont repris à Divo avec une forte présence des forces de l’ordre dans la villen
Doumbia Namory
Envoyé Spécial à Divo