La 25e édition du Festival panafricain du cinéma et de la télévision d’Ouagadougou (Fespaco) aura lieu du 25 février au 5 mars 2017 à Ouagadougou dans la capitale du Burkina Faso. En prélude à cette biennale, une délégation burkinabè est arrivée à Abidjan le jeudi 5 janvier 2017.
Le même jour , le ministre burkinabé Tahirou Barry à la tête de cette délégation a été reçu en audience par son homologue ivoirien, Bandaman Maurice. Il était question de rappeler la coopération qui existe entre les deux pays et de porter à la connaissance des uns et des autres le dynamisme du secteur cinématographique ivoirien. À l’occasion, le ministre ivoirien de la Culture et de la Francophonie, Kouakou Bandaman Maurice a rassuré la délégation burkinabè de la présence effective de la Côte d’Ivoire au FESPACO qui se tiendra à Ouagadougou dans la capitale du Burkina Faso. Bandaman Maurice, a exprimé des préoccupations . La première est la possibilité de projeter des films burkinabè au festival « Ivoire ciné tour » qui se tient actuellement dans les communes d’Abidjan et qui se déplorera à l’intérieur du pays. Il s’agit de permettre à la diaspora burkinabè en Côte Ivoire de voir les films du pays d’origine . La deuxième préoccupation est la possibilité d’organiser pendant le FESPACO, les journées du cinéma ivoirien à Ouagadougou et Bobo-Dioulasso.
En retour , Tahirou Barry, ministre burkinabé de la Culture, des Arts et du Tourisme , a dit sa volonté de travailler avec la Côte d’Ivoire , dans le cadre du dernier Traité d’Amitié et de coopération (TAC 5) à Yamoussoukro en juillet 2016, à travers des échanges assez riches tant dans le domaine de la formation, du patrimoine que cinématographique. Il a souhaité que les paroles et surtout des actes qui les accompagnent soient salués. Près de 28 activités ont été menées dans le cadre de la coopération culturelle ivoiro-burkinabè depuis la signature d’un accord en décembre 2009. C’est en effet dans ce sens que plusieurs artistes burkinabè ont pu participer à des avènements en Côte d’Ivoire et vice-versa. Les deux ministères ont manifesté leur désir de travailler à rapprocher les peuples ivoirien et burkinabè qui sont davantage liés par l’histoire, l’espace et le sang. Ils ont dit que ces deux peuples doivent montrer qu’ils s’aiment à travers l’expression culturelle. Ils se sont réjouis du dynamisme de cette coopération et ont réaffirmé leur volonté de travailler ensemble.
M.Ouattara
Le même jour , le ministre burkinabé Tahirou Barry à la tête de cette délégation a été reçu en audience par son homologue ivoirien, Bandaman Maurice. Il était question de rappeler la coopération qui existe entre les deux pays et de porter à la connaissance des uns et des autres le dynamisme du secteur cinématographique ivoirien. À l’occasion, le ministre ivoirien de la Culture et de la Francophonie, Kouakou Bandaman Maurice a rassuré la délégation burkinabè de la présence effective de la Côte d’Ivoire au FESPACO qui se tiendra à Ouagadougou dans la capitale du Burkina Faso. Bandaman Maurice, a exprimé des préoccupations . La première est la possibilité de projeter des films burkinabè au festival « Ivoire ciné tour » qui se tient actuellement dans les communes d’Abidjan et qui se déplorera à l’intérieur du pays. Il s’agit de permettre à la diaspora burkinabè en Côte Ivoire de voir les films du pays d’origine . La deuxième préoccupation est la possibilité d’organiser pendant le FESPACO, les journées du cinéma ivoirien à Ouagadougou et Bobo-Dioulasso.
En retour , Tahirou Barry, ministre burkinabé de la Culture, des Arts et du Tourisme , a dit sa volonté de travailler avec la Côte d’Ivoire , dans le cadre du dernier Traité d’Amitié et de coopération (TAC 5) à Yamoussoukro en juillet 2016, à travers des échanges assez riches tant dans le domaine de la formation, du patrimoine que cinématographique. Il a souhaité que les paroles et surtout des actes qui les accompagnent soient salués. Près de 28 activités ont été menées dans le cadre de la coopération culturelle ivoiro-burkinabè depuis la signature d’un accord en décembre 2009. C’est en effet dans ce sens que plusieurs artistes burkinabè ont pu participer à des avènements en Côte d’Ivoire et vice-versa. Les deux ministères ont manifesté leur désir de travailler à rapprocher les peuples ivoirien et burkinabè qui sont davantage liés par l’histoire, l’espace et le sang. Ils ont dit que ces deux peuples doivent montrer qu’ils s’aiment à travers l’expression culturelle. Ils se sont réjouis du dynamisme de cette coopération et ont réaffirmé leur volonté de travailler ensemble.
M.Ouattara