La Croix-Rouge de Côte d’Ivoire a initié, vendredi et samedi, une caravane de sensibilisation contre l'excision à Oumé (centre-ouest, région du Gôh), dans le cadre de son projet "Les droits humains".
Lors des différentes rencontres avec les populations au foyer polyvalent d’Oumé et au village de Doukuoya, le représentant local de la Croix-Rouge, Andy Moyeo Roger, s’est insurgé contre les mutilations sexuelles des enfants et des femmes. Il leur a demandé d'abandonner l'excision dont la pratique viole les droits humains des victimes.
Selon l'enquête de démographie et de santé (EDS 2011-2012), la forme de mutilation génitale féminine la plus répandue en Côte d'Ivoire est l'excision. Près de deux femmes sur cinq, soit 38%, sont excisées en Côte d'Ivoire, avec la majorité des enfants de cinq ans.
dl/nmfa/kp
Lors des différentes rencontres avec les populations au foyer polyvalent d’Oumé et au village de Doukuoya, le représentant local de la Croix-Rouge, Andy Moyeo Roger, s’est insurgé contre les mutilations sexuelles des enfants et des femmes. Il leur a demandé d'abandonner l'excision dont la pratique viole les droits humains des victimes.
Selon l'enquête de démographie et de santé (EDS 2011-2012), la forme de mutilation génitale féminine la plus répandue en Côte d'Ivoire est l'excision. Près de deux femmes sur cinq, soit 38%, sont excisées en Côte d'Ivoire, avec la majorité des enfants de cinq ans.
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