Pour sa 11ème participation à la CAN, le Burkina Faso aura fort à faire dans une poule difficile. Son premier objectif sera de se qualifier pour le top 8.
Au Burkina Faso, tout le monde s’accorde sur un fait : les Étalons sont logés dans un groupe (A) très difficile. Pour espérer obtenir l’un des deux tickets qualificatifs pour le top 8, il faudra qu’ils élèvent le niveau de leur jeu.
Une équation pour Paulo Duarte et ses poulains. Depuis la finale ratée de 2013, la sélection nationale burkinabé n’emballe plus. Elle a manqué le Mondial 2014 au Brésil. De plus, elle est sortie par la petite porte (au premier tour) lors de la CAN 2015 en Guinée Equatoriale alors qu’elle était attendue. Même pour le rendez-vous du Gabon, il a fallu la dernière journée pour voir les Étalons décrocher leur billet. À ce tournoi, le Burkina Faso doit ouvrir les hostilités avec le Cameroun, l’un des gros favoris de l’épreuve.
Pour son deuxième match, il croisera le fer avec le pays organisateur avant de terminer par la Guinée-Bissau aux grandes ambitions. L’on comprend aisément toutes les inquiétudes autour de l’environnement des Étalons. Même s’il ne fait pas partie des cadors, il n’empêche que le Burkina Faso aura son mot à dire à dans ce débat de 2017 en pensant à la merveilleuse campagne de 2013. S’il fait une bonne entrée, le reste du parcours coulera de source. Mais une sortie en dents de scie, pourrait compliquer les calculs.
Habitués des joutes internationales, les Etalons nourrissent aussi de grandes et fortes ambitions, Paulo Duarté qui connait bien la maison pour l’avoir déjà dirigée de 2007 à 2012, pourra s’appuyer sur des perles comme Benou Diawara (Smouha) en Egypte, Jonathan Pitroipa (Al Nasr) aux Emirats Arabes Unis, Bakary Koné (Malaga) en Espagne, Hervé Kouakou et Aristide Bancé (ASEC Mimosas) en Côte d’Ivoire…Des joueurs d’expérience qui entendent faire revenir leur pays dans le gotha du football africain. Au Burkina Faso, on retient son souffle.
Source : afrikipresse.fr
Au Burkina Faso, tout le monde s’accorde sur un fait : les Étalons sont logés dans un groupe (A) très difficile. Pour espérer obtenir l’un des deux tickets qualificatifs pour le top 8, il faudra qu’ils élèvent le niveau de leur jeu.
Une équation pour Paulo Duarte et ses poulains. Depuis la finale ratée de 2013, la sélection nationale burkinabé n’emballe plus. Elle a manqué le Mondial 2014 au Brésil. De plus, elle est sortie par la petite porte (au premier tour) lors de la CAN 2015 en Guinée Equatoriale alors qu’elle était attendue. Même pour le rendez-vous du Gabon, il a fallu la dernière journée pour voir les Étalons décrocher leur billet. À ce tournoi, le Burkina Faso doit ouvrir les hostilités avec le Cameroun, l’un des gros favoris de l’épreuve.
Pour son deuxième match, il croisera le fer avec le pays organisateur avant de terminer par la Guinée-Bissau aux grandes ambitions. L’on comprend aisément toutes les inquiétudes autour de l’environnement des Étalons. Même s’il ne fait pas partie des cadors, il n’empêche que le Burkina Faso aura son mot à dire à dans ce débat de 2017 en pensant à la merveilleuse campagne de 2013. S’il fait une bonne entrée, le reste du parcours coulera de source. Mais une sortie en dents de scie, pourrait compliquer les calculs.
Habitués des joutes internationales, les Etalons nourrissent aussi de grandes et fortes ambitions, Paulo Duarté qui connait bien la maison pour l’avoir déjà dirigée de 2007 à 2012, pourra s’appuyer sur des perles comme Benou Diawara (Smouha) en Egypte, Jonathan Pitroipa (Al Nasr) aux Emirats Arabes Unis, Bakary Koné (Malaga) en Espagne, Hervé Kouakou et Aristide Bancé (ASEC Mimosas) en Côte d’Ivoire…Des joueurs d’expérience qui entendent faire revenir leur pays dans le gotha du football africain. Au Burkina Faso, on retient son souffle.
Source : afrikipresse.fr