La rencontre des ministres des Affaires étrangères a débuté vendredi à Bamako en prélude au 27e Sommet Afrique-Afrique qui sera marqué par les questions de sécurité, de paix et d'opportunités économiques, a constaté vendredi un correspondant de Xinhua.
Au cours de ce sommet qui va enregistrer la présence d'une quarantaine de chefs d'Etat et de gouvernement, "la sécurité et le maintien de la paix seront à évidence au centre des discussions des chefs d'Etat et de gouvernement", a déclaré le ministre français des Affaires étrangères, Jean-Marc Ayrault, selon qui "il y a un impératif de paix de tous les côtés".
Pour lui, les défis de ce 21e siècle sont de grande envergure à savoir "la lutte contre le radicalisme ou le terrorisme, la lutte contre la traite d'êtres humains, les trafics de drogue, d'armes et celle contre les nouvelles formes de violence la cybercriminalité et contre les atteintes à la sureté maritime".
Face à ces menaces, a-t-dit, "nous devons ensemble trouver des réponses communes à travers nos coopérations, le renforcement des modes d'action, l'intensification des échanges d'information".
La tenue de ce sommet est un acte de confiance en l'avenir du Mali, mais aussi de l'Afrique tout entière, a ajouté le ministre français.
Son homologue malien, Abdoulaye Diop, est de même avis parce que, a-t-il expliqué, "le Mali accueille, en force comme un peuple débout et uni, l'ensemble du continent africain et de nos partenaires français et autres".
"C'est un signe de grande confiance. Mais, c'est aussi la reconnaissance de tous les efforts qui ont été faits pour que nous en soyons là. Ce sommet consacre le retour du Mali, mais également la confiance que les uns et les autres ont placé en notre pays", a affirmé le ministre malien.
En plus des défis sécuritaires, ce sommet constitue des "opportunités économiques", a-t-il conclu.
Des chefs de délégations et des présidents sont déjà venus à Bamako et d'autres sont attendus. Le Premier ministre malien, Modibo Keita, est à Gao pour accueillir le président français François Hollande qui commence sa visite au Mali dans le nord du pays pour rencontrer les militaires français de Barkhane (l'opération française de lutte contre le terrorisme dans le Sahel).
Au cours de ce sommet qui va enregistrer la présence d'une quarantaine de chefs d'Etat et de gouvernement, "la sécurité et le maintien de la paix seront à évidence au centre des discussions des chefs d'Etat et de gouvernement", a déclaré le ministre français des Affaires étrangères, Jean-Marc Ayrault, selon qui "il y a un impératif de paix de tous les côtés".
Pour lui, les défis de ce 21e siècle sont de grande envergure à savoir "la lutte contre le radicalisme ou le terrorisme, la lutte contre la traite d'êtres humains, les trafics de drogue, d'armes et celle contre les nouvelles formes de violence la cybercriminalité et contre les atteintes à la sureté maritime".
Face à ces menaces, a-t-dit, "nous devons ensemble trouver des réponses communes à travers nos coopérations, le renforcement des modes d'action, l'intensification des échanges d'information".
La tenue de ce sommet est un acte de confiance en l'avenir du Mali, mais aussi de l'Afrique tout entière, a ajouté le ministre français.
Son homologue malien, Abdoulaye Diop, est de même avis parce que, a-t-il expliqué, "le Mali accueille, en force comme un peuple débout et uni, l'ensemble du continent africain et de nos partenaires français et autres".
"C'est un signe de grande confiance. Mais, c'est aussi la reconnaissance de tous les efforts qui ont été faits pour que nous en soyons là. Ce sommet consacre le retour du Mali, mais également la confiance que les uns et les autres ont placé en notre pays", a affirmé le ministre malien.
En plus des défis sécuritaires, ce sommet constitue des "opportunités économiques", a-t-il conclu.
Des chefs de délégations et des présidents sont déjà venus à Bamako et d'autres sont attendus. Le Premier ministre malien, Modibo Keita, est à Gao pour accueillir le président français François Hollande qui commence sa visite au Mali dans le nord du pays pour rencontrer les militaires français de Barkhane (l'opération française de lutte contre le terrorisme dans le Sahel).