Le Conseil national de la presse (CNP, organe de régulation) de Côte d'Ivoire a levé vendredi sa sanction contre LG Infos, quotidien proche de l’opposition qui écope d’une suspension de 14 parutions depuis le 05 janvier, après l’introduction d’un "recours gracieux" par l’entreprise éditrice du journal.
Le conseil, au terme de son examen, "a déclaré le recours gracieux (de l’entreprise de presse Cyclone) recevable parce que respectueux des formes et délai légaux", indique le communiqué signé du président Raphael Lakpé.
Le 05 janvier, le régulateur avait suspendu LG Infos pour 14 parutions, pour avoir "à nouveau" publié "des photographies de personnes présentées comme étant arbitrairement détenues" après une autre sanction en décembre.
Le CNP lui reprochait de publier "régulièrement en ses quatrièmes de couverture, des photographies de personnalités présentées comme des prisonniers politiques", dont l’ex-Première dame, Simone Gbagbo, ou les ex-ministres Lida Kouassi et Hubert Oulaye.
Selon le régulateur, "présenter l'ensemble" de ces personnalités "comme arbitrairement détenues constitue une fausse information dès lors que ne pourraient être désignées comme telles, que les personnes non encore jugées".
ROK
Le conseil, au terme de son examen, "a déclaré le recours gracieux (de l’entreprise de presse Cyclone) recevable parce que respectueux des formes et délai légaux", indique le communiqué signé du président Raphael Lakpé.
Le 05 janvier, le régulateur avait suspendu LG Infos pour 14 parutions, pour avoir "à nouveau" publié "des photographies de personnes présentées comme étant arbitrairement détenues" après une autre sanction en décembre.
Le CNP lui reprochait de publier "régulièrement en ses quatrièmes de couverture, des photographies de personnalités présentées comme des prisonniers politiques", dont l’ex-Première dame, Simone Gbagbo, ou les ex-ministres Lida Kouassi et Hubert Oulaye.
Selon le régulateur, "présenter l'ensemble" de ces personnalités "comme arbitrairement détenues constitue une fausse information dès lors que ne pourraient être désignées comme telles, que les personnes non encore jugées".
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