La plateforme des fonctionnaires et agents de l’Etat de Côte d’Ivoire a décidé mardi de "poursuivre" sa grève jusqu’à la "satisfaction totale" de ses revendications, 24 heures après l’appel à la reprise du gouvernement, à l’issue d’une Assemblée générale.
"La plateforme nationale, réunie en Assemblée générale extraordinaire des secrétaires généraux ce mardi 17 janvier 2017 (…) décide de poursuivre la grève jusqu’à la satisfaction totale de ses revendications", a déclaré le premier vice-président de l’intersyndicale Ernest Atté Boka.
Lundi, le ministre ivoirien de la Fonction publique, Pascal Abinan a demandé aux syndicats de "lever leur mot d’ordre" de grève et a assuré que des solutions seront apportées à leurs revendications", à l’issue du Conseil des ministres mercredi, lors d’un échange avec les responsables de la plateforme.
Selon M. Atté, la rencontre avec le gouvernement "n’a apporté aucune réponse concrète" aux préoccupations des fonctionnaires.
Le 9 janvier, la plateforme a lancé un mot d'ordre de grève de cinq jours pour réclamer entre autres le paiement de stock d’arriérés de salaire et le retrait du décret portant abattement des pensions de retraite avant de le reconduire pour une semaine "sans service minimum" lundi et mardi en raison "du mutisme"des autorités.
LKO
"La plateforme nationale, réunie en Assemblée générale extraordinaire des secrétaires généraux ce mardi 17 janvier 2017 (…) décide de poursuivre la grève jusqu’à la satisfaction totale de ses revendications", a déclaré le premier vice-président de l’intersyndicale Ernest Atté Boka.
Lundi, le ministre ivoirien de la Fonction publique, Pascal Abinan a demandé aux syndicats de "lever leur mot d’ordre" de grève et a assuré que des solutions seront apportées à leurs revendications", à l’issue du Conseil des ministres mercredi, lors d’un échange avec les responsables de la plateforme.
Selon M. Atté, la rencontre avec le gouvernement "n’a apporté aucune réponse concrète" aux préoccupations des fonctionnaires.
Le 9 janvier, la plateforme a lancé un mot d'ordre de grève de cinq jours pour réclamer entre autres le paiement de stock d’arriérés de salaire et le retrait du décret portant abattement des pensions de retraite avant de le reconduire pour une semaine "sans service minimum" lundi et mardi en raison "du mutisme"des autorités.
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