San Pedro – Invité à se prononcer sur l’impact des mouvements sociaux actuels sur le milieu des affaires et l’économie ivoirienne, le nouveau président de la Chambre de commerce et d’industrie de Côte d’Ivoire (CCI-CI), Touré Faman, préconise un dialogue national pour permettre au président Alassane Ouattara de trouver des solutions durables.
« Il faut instaurer un dialogue national pour que les gens s’expriment et qu’on puisse les écouter, que toutes les couches de la nation soient reçues et que l’on puisse traiter une bonne fois les problèmes qui se posent », a déclaré Touré Faman, en marge de sa rencontre avec les opérateurs économiques de San Pedro.
Selon le président de la CCI-CI, il ne faut pas dramatiser la situation actuelle, parce que « les mouvements sociaux de ce genre existent dans tous les pays, sauf que, note-t-il, certains posent un peu maladroitement leurs problèmes qui sont réels ».
Touré Faman a reconnu qu’avec les mouvements sociaux actuels, les investisseurs peuvent s’interroger. « Mais on dramatise quelquefois, car ce ne sont que de simples revendications », a insisté le responsable de la CCI-CI, soulignant que même les corps habillés, en dépit de leur colère momentanée, se reconnaissent dans le président Alassane Ouattara et « il ne faut donc pas voir derrière leur action une volonté de déstabiliser le régime ».
jmk/kp
« Il faut instaurer un dialogue national pour que les gens s’expriment et qu’on puisse les écouter, que toutes les couches de la nation soient reçues et que l’on puisse traiter une bonne fois les problèmes qui se posent », a déclaré Touré Faman, en marge de sa rencontre avec les opérateurs économiques de San Pedro.
Selon le président de la CCI-CI, il ne faut pas dramatiser la situation actuelle, parce que « les mouvements sociaux de ce genre existent dans tous les pays, sauf que, note-t-il, certains posent un peu maladroitement leurs problèmes qui sont réels ».
Touré Faman a reconnu qu’avec les mouvements sociaux actuels, les investisseurs peuvent s’interroger. « Mais on dramatise quelquefois, car ce ne sont que de simples revendications », a insisté le responsable de la CCI-CI, soulignant que même les corps habillés, en dépit de leur colère momentanée, se reconnaissent dans le président Alassane Ouattara et « il ne faut donc pas voir derrière leur action une volonté de déstabiliser le régime ».
jmk/kp