Les journées se suivent et se ressemblent pour les Eléphants. Comme contre les Eperviers du Togo, les Ivoiriens ont été contraints au partage des points, hier au Stade d’Oyem, par la République démocratique du Congo. Les deux équipes se sont séparées sur le score de deux buts partout. Mais au vu de son comportement dans les dernières minutes de la partie, la Côte d’Ivoire peut avoir des regrets.
La Côte d’Ivoire ne commence pas le match de la meilleure façon. Dix minutes seulement après le début des hostilités, les Eléphants, très transparents, encaissent un but. Sur une rentrée de touche congolaise, ils paient au prix fort leur laxisme défensif. Neeskens Kebano, d’une superbe frappe, bat Gbohouo Sylvain. Ce but met davantage de pression dans le camp ivoirien qui cafouille Serge Aurier dépose un ballon sur la tête de Bony Wilfried. La puissante tête de l’avant centre ivoirien est hors cadre. A la 24ème minute, Matampi Ley, le goal congolais, relâche un ballon. Chaude alerte dans la défense des Léopards. Matampi s’emploie pour garder sa cage inviolée.
Les Ivoiriens reviennent à la charge la minute suivante, mais l’arrière garde congolaise se dégage en corner. La balle de coin bien jouée par Max Alain Gradel profite à Bony Wilfried qui s’élève et reprend victorieusement.
Les supporters ivoiriens n’ont pas fini d’exulter que les Eléphants, dans la foulée, encaissent un autre but. Marcel Jany Tisserand efface Traoré Adama et centre. Junior Kalonji, oublié au second poteau par Serge Aurier, smashe le ballon de la tête et renvoie Gbohouo pour la seconde fois au fonds de ses filets. La récréation est sifflée sur cet avantage des Congolais.
En seconde période, les Eléphants retrouvent un peu plus de rythme et d’envie. Petit à petit, les Léopards reculent et laissent l’initiative du jeu aux Ivoiriens. A la 65ème minute, Serey Dié, le capitaine ivoirien, égalise d’un shoot en puissance.
Les Congolais qui n’y sont plus subissent plusieurs attaques ivoiriennes. Mais ils n’encaissent pas ce fameux but qui aurait fait le bonheur des Eléphants.
Roger Okou Vabé
envoyé spécial au Gabon
La Côte d’Ivoire ne commence pas le match de la meilleure façon. Dix minutes seulement après le début des hostilités, les Eléphants, très transparents, encaissent un but. Sur une rentrée de touche congolaise, ils paient au prix fort leur laxisme défensif. Neeskens Kebano, d’une superbe frappe, bat Gbohouo Sylvain. Ce but met davantage de pression dans le camp ivoirien qui cafouille Serge Aurier dépose un ballon sur la tête de Bony Wilfried. La puissante tête de l’avant centre ivoirien est hors cadre. A la 24ème minute, Matampi Ley, le goal congolais, relâche un ballon. Chaude alerte dans la défense des Léopards. Matampi s’emploie pour garder sa cage inviolée.
Les Ivoiriens reviennent à la charge la minute suivante, mais l’arrière garde congolaise se dégage en corner. La balle de coin bien jouée par Max Alain Gradel profite à Bony Wilfried qui s’élève et reprend victorieusement.
Les supporters ivoiriens n’ont pas fini d’exulter que les Eléphants, dans la foulée, encaissent un autre but. Marcel Jany Tisserand efface Traoré Adama et centre. Junior Kalonji, oublié au second poteau par Serge Aurier, smashe le ballon de la tête et renvoie Gbohouo pour la seconde fois au fonds de ses filets. La récréation est sifflée sur cet avantage des Congolais.
En seconde période, les Eléphants retrouvent un peu plus de rythme et d’envie. Petit à petit, les Léopards reculent et laissent l’initiative du jeu aux Ivoiriens. A la 65ème minute, Serey Dié, le capitaine ivoirien, égalise d’un shoot en puissance.
Les Congolais qui n’y sont plus subissent plusieurs attaques ivoiriennes. Mais ils n’encaissent pas ce fameux but qui aurait fait le bonheur des Eléphants.
Roger Okou Vabé
envoyé spécial au Gabon