La plateforme des fonctionnaires de Côte d’Ivoire en grève depuis le 09 Janvier pour réclamer entre autres le paiement du stock des arriérés de salaire, a décidé samedi à Abidjan de reconduire son mouvement pour cinq jours, à compter de lundi, indiquant que le gouvernement ivoirien "n’a pas évolué sur les deux points restés en suspens" lors des négociations, après une assemblée générale.
"La position du gouvernement n’ayant pas évolué sur les deux points essentiels de (nos) revendications depuis 2009 à savoir: le stock des arriérés et la bonification des 150 points d’indice, la plateforme nationale des organisations professionnelles du secteur public de Côte d’Ivoire, réunie en assemblée générale, a décidé de reconduire son mot d’ordre de grève pour une durée de cinq jours à compter du lundi", indique le communiqué lu par son secrétaire général adjoint Patrick N’Guessan.
Cette décision intervient après que les délégués syndicaux ont unanimement appelé à la reconduction de la grève.
"Nous avons pris la décision de reconduire la grève. Mais nous devons assurer le service minimum" dans les secteurs stratégiques, à précisé le premier vice-président de la plateforme Etienne Boka.
Depuis le 09 janvier, la Plateforme nationale des fonctionnaires de Côte d’Ivoire a entamé une grève pour réclamer le paiement du stock des arriérés de salaire, le retrait du décret portant abattement des pensions de retraite, l’intégration des agents journaliers, la bonification indiciaire et la liberté syndicale.
Jeudi, sur six points de revendications exposés par les syndicalistes, le gouvernement a donné son accord pour quatre.
Vendredi, le premier ministre ivoirien, Amadou Gon Coulibaly a rencontré les syndicats pour s'accorder sur les deux points restés en suspens, notamment le paiement du stock des arriérés de salaire estimés à 249,6 milliards FCFA et 21 milliards FCFA correspondant à la bonification à 150 points de l’indice salarial.
Au sortir de cette rencontre avec le chef du gouvernement, les responsables syndicaux ont souhaité se référer à leur base pour définir les perspectives de leur lutte.
La plateforme a appelé le gouvernement à "prendre la pleine mesure" de la détermination des fonctionnaires et agents de l’Etat de Côte d’Ivoire et "à trouver des réponses justes" aux préoccupations non satisfaites.
LKO
"La position du gouvernement n’ayant pas évolué sur les deux points essentiels de (nos) revendications depuis 2009 à savoir: le stock des arriérés et la bonification des 150 points d’indice, la plateforme nationale des organisations professionnelles du secteur public de Côte d’Ivoire, réunie en assemblée générale, a décidé de reconduire son mot d’ordre de grève pour une durée de cinq jours à compter du lundi", indique le communiqué lu par son secrétaire général adjoint Patrick N’Guessan.
Cette décision intervient après que les délégués syndicaux ont unanimement appelé à la reconduction de la grève.
"Nous avons pris la décision de reconduire la grève. Mais nous devons assurer le service minimum" dans les secteurs stratégiques, à précisé le premier vice-président de la plateforme Etienne Boka.
Depuis le 09 janvier, la Plateforme nationale des fonctionnaires de Côte d’Ivoire a entamé une grève pour réclamer le paiement du stock des arriérés de salaire, le retrait du décret portant abattement des pensions de retraite, l’intégration des agents journaliers, la bonification indiciaire et la liberté syndicale.
Jeudi, sur six points de revendications exposés par les syndicalistes, le gouvernement a donné son accord pour quatre.
Vendredi, le premier ministre ivoirien, Amadou Gon Coulibaly a rencontré les syndicats pour s'accorder sur les deux points restés en suspens, notamment le paiement du stock des arriérés de salaire estimés à 249,6 milliards FCFA et 21 milliards FCFA correspondant à la bonification à 150 points de l’indice salarial.
Au sortir de cette rencontre avec le chef du gouvernement, les responsables syndicaux ont souhaité se référer à leur base pour définir les perspectives de leur lutte.
La plateforme a appelé le gouvernement à "prendre la pleine mesure" de la détermination des fonctionnaires et agents de l’Etat de Côte d’Ivoire et "à trouver des réponses justes" aux préoccupations non satisfaites.
LKO