Korhogo – Un prêtre de la cathédrale Saint Jean-Baptiste de Korhogo a appelé dimanche les fidèles catholiques de son diocèse à "donner plus de valeur" aux communautés ecclésiastiques de base (CEB), soulignant qu’elles sont le "prolongement de l’église" dans leur quartier.
"La CEB, c’est une partie de l’église dans nos différents quartiers. Et si l’église s’étend ainsi dans vos familles, il y a lieu de prendre la peine de participer à cette église, de faire corps avec cette église qui vient nous rejoindre", a déclaré le père Agbo Moïse, précisant que "la CEB n’est pas un mouvement ni une association dans l’église. C’est une partie, une entité de cette église qui se déploie auprès de vous".
A entendre le prêtre qui a célébré la messe dominicale, les fidèles du quartier résidentiel de Korhogo sont peu portés sur leur CEB.
Il les a invités à faire l’effort de l’intégrer, quelles que soient les contraintes de temps, et même à y amener leurs enfants, car elle constitue le lieu privilégié de bien connaître les autres chrétiens du voisinage, de former une communauté des enfants de Dieu et d’expérimenter la communion fraternelle dans le corps du Christ.
Selon le prêtre, qui a rappelé que les apôtres s’étaient rassemblés dans une salle, à la demande du Christ, pour attendre le Saint-Esprit, l’esprit divin ne viendra pas se poser sur les membres d’une communauté chrétienne dispersés.
(AIP)
Kaem/kp
"La CEB, c’est une partie de l’église dans nos différents quartiers. Et si l’église s’étend ainsi dans vos familles, il y a lieu de prendre la peine de participer à cette église, de faire corps avec cette église qui vient nous rejoindre", a déclaré le père Agbo Moïse, précisant que "la CEB n’est pas un mouvement ni une association dans l’église. C’est une partie, une entité de cette église qui se déploie auprès de vous".
A entendre le prêtre qui a célébré la messe dominicale, les fidèles du quartier résidentiel de Korhogo sont peu portés sur leur CEB.
Il les a invités à faire l’effort de l’intégrer, quelles que soient les contraintes de temps, et même à y amener leurs enfants, car elle constitue le lieu privilégié de bien connaître les autres chrétiens du voisinage, de former une communauté des enfants de Dieu et d’expérimenter la communion fraternelle dans le corps du Christ.
Selon le prêtre, qui a rappelé que les apôtres s’étaient rassemblés dans une salle, à la demande du Christ, pour attendre le Saint-Esprit, l’esprit divin ne viendra pas se poser sur les membres d’une communauté chrétienne dispersés.
(AIP)
Kaem/kp