Le capitaine de la sélection ivoirienne Geoffroy Serey Dié a levé un coin de voile sur l’esprit du match couperet que la Côte d’Ivoire livrera contre le Maroc d’Hervé Renard, le mardi 24 janvier 2017, à Oyem.
La Côte d’Ivoire et le Maroc seront à couteau tiré, le mardi 24 janvier 2017, à l’occasion du dernier match de la poule C de la CAN, au Gabon.
Cette rencontre constitue, en quelque sorte, des retrouvailles entre les Eléphants de Côte d’Ivoire et Hervé Renard, le sélectionneur qui les a conduits au sacre continental, lors de la précédente édition de la CAN, en Guinée Equatoriale, passé aujourd’hui, chez les Lions de l’Atlas.
Le capitaine de la sélection ivoirienne Geoffroy Serey Dié ne voit pas les choses sous cet angle : « Pour moi, non. Peut-être pour lui (ndlr ; Hervé Renard), oui. Je sais qu’il nous aime beaucoup. Il ne cesse de le dire. Mais bon, pour nous, non parce que c’est notre boulot. On doit passer, peu importe l’adversaire, peu importe comment les choses doivent se passer. Mais à la fin, on doit gagner», a-t-il confié sur les antennes de RFI.
A travers les propos du capitaine des Éléphants, on peut imaginer déjà l’esprit dans lequel ce match se déroulera.
La Côte d’Ivoire et le Maroc seront à couteau tiré, le mardi 24 janvier 2017, à l’occasion du dernier match de la poule C de la CAN, au Gabon.
Cette rencontre constitue, en quelque sorte, des retrouvailles entre les Eléphants de Côte d’Ivoire et Hervé Renard, le sélectionneur qui les a conduits au sacre continental, lors de la précédente édition de la CAN, en Guinée Equatoriale, passé aujourd’hui, chez les Lions de l’Atlas.
Le capitaine de la sélection ivoirienne Geoffroy Serey Dié ne voit pas les choses sous cet angle : « Pour moi, non. Peut-être pour lui (ndlr ; Hervé Renard), oui. Je sais qu’il nous aime beaucoup. Il ne cesse de le dire. Mais bon, pour nous, non parce que c’est notre boulot. On doit passer, peu importe l’adversaire, peu importe comment les choses doivent se passer. Mais à la fin, on doit gagner», a-t-il confié sur les antennes de RFI.
A travers les propos du capitaine des Éléphants, on peut imaginer déjà l’esprit dans lequel ce match se déroulera.