Bouaflé - Des échauffourées entre syndicalistes de la fonction publique et agents municipaux ont eu lieu, mardi, sur l’esplanade de la mairie de Bouaflé (Centre-Ouest, région de la Marahoué), sans faire de victimes.
Cette rixe s’est déclenchée alors que des syndicalistes, en motos et sifflets à la bouche, se sont rendus à la mairie pour déloger les agents fonctionnaires de cette institution afin de les obliger à respecter le mot d’ordre de grève des fonctionnaires, en restant chez eux.
Mais, ils se sont heurtés à la garde municipale qui leur a demandé de rebrousser chemin, arguant qu’il n’y a pas d’agents fonctionnaires en service à la mairie, ce mardi. Il s’en est suivi une bagarre qui a failli dégénérer, n’eut été l’arrivée prompte de la police qui a dispersé les grévistes sans faire de victime.
Une grève générale déclenchée par l’intersyndicale des fonctionnaires de Côte d’Ivoire (IFCI) et la plateforme nationale des organisations professionnelles du secteur public depuis le 09 janvier pour réclamer, entre autres, le retrait de l’ordonnance portant réforme de la retraite, le paiement de stocks d’arriérés, ainsi que le respect de la liberté syndicale, a été reconduite lundi pour cinq jours.
L’appel au travail de certains responsables syndicaux, dimanche, se heurte au refus de la base de Bouaflé à mettre fin au mouvement de grève.
(AIP)
zaar/akn/fmo
Cette rixe s’est déclenchée alors que des syndicalistes, en motos et sifflets à la bouche, se sont rendus à la mairie pour déloger les agents fonctionnaires de cette institution afin de les obliger à respecter le mot d’ordre de grève des fonctionnaires, en restant chez eux.
Mais, ils se sont heurtés à la garde municipale qui leur a demandé de rebrousser chemin, arguant qu’il n’y a pas d’agents fonctionnaires en service à la mairie, ce mardi. Il s’en est suivi une bagarre qui a failli dégénérer, n’eut été l’arrivée prompte de la police qui a dispersé les grévistes sans faire de victime.
Une grève générale déclenchée par l’intersyndicale des fonctionnaires de Côte d’Ivoire (IFCI) et la plateforme nationale des organisations professionnelles du secteur public depuis le 09 janvier pour réclamer, entre autres, le retrait de l’ordonnance portant réforme de la retraite, le paiement de stocks d’arriérés, ainsi que le respect de la liberté syndicale, a été reconduite lundi pour cinq jours.
L’appel au travail de certains responsables syndicaux, dimanche, se heurte au refus de la base de Bouaflé à mettre fin au mouvement de grève.
(AIP)
zaar/akn/fmo