Bouaké (Côte d’Ivoire) - Le travail a repris, lundi, dans l’administration publique ivoirienne après trois semaines de grève largement suivie par les fonctionnaires, a constaté APA sur place.
A Bouaké, dans le Centre-Nord ivoirien, à 8H00 locales et Gmt, les professeurs et leurs élèves étaient bel et bien présents dans les salles de classe du lycée classique et moderne 1 au quartier Djamourou (Centre-Nord de la ville).
Au même moment, les amphithéâtres de l’administration voisine, notamment le Centre d’animation et de formation pédagogique (CAFOP 1) ont rouvert et les élèves instituteurs vêtus de leurs costumes noirs étaient bien visibles dans l’enceinte de l’établissement.
Plus loin, au groupe scolaire Plateau, après le salut du drapeau national, les écoliers visiblement heureux ont regagné au pas de course les classes où les attendaient les instituteurs.
‘’Je suis heureux de retrouver le chemin de l’école après trois semaines passées à la maison à ne rien faire’’, a fait savoir Balla Junior Koné, élève en classe de 4è dans un établissement privé de la ville où les cours avaient également été perturbés par ce débrayage des fonctionnaires.
‘’Je suis très heureux de constater l’effectivité de la reprise du travail dans mon établissement’’, s’est réjoui à son tour à la fin d’une tournée d’inspection, le président de l’association des parents d’élèves du groupe scolaire Plateau.
Cependant, a plaidé l’ex-enseignant à la retraite, ‘’nous souhaitons que le gouvernement règle au plus tôt le problème (…) afin d’éviter d’autres désagréments’’.
Au Centre hospitalier et universitaire (CHU) de Bouaké, le pool de consultation en médecine et en chirurgie a retrouvé son ambiance habituelle où les patients étaient habituellement refoulés tout au long de ces trois dernières semaines.
Les fonctionnaires ont paralysé l’administration pour réclamer notamment le retrait de la loi de 2012 sur la pension de retraite ainsi que le paiement des arriérés des effets financiers de la revalorisation salariale en 2009.
Après avoir obtenu satisfaction à quatre revendications sur six, les syndicats ont suspendu leur grève pour un mois pour donner une chance aux négociations qui se poursuivent avec le gouvernement à travers un Comité qui a été mis en place.
CK/ls
A Bouaké, dans le Centre-Nord ivoirien, à 8H00 locales et Gmt, les professeurs et leurs élèves étaient bel et bien présents dans les salles de classe du lycée classique et moderne 1 au quartier Djamourou (Centre-Nord de la ville).
Au même moment, les amphithéâtres de l’administration voisine, notamment le Centre d’animation et de formation pédagogique (CAFOP 1) ont rouvert et les élèves instituteurs vêtus de leurs costumes noirs étaient bien visibles dans l’enceinte de l’établissement.
Plus loin, au groupe scolaire Plateau, après le salut du drapeau national, les écoliers visiblement heureux ont regagné au pas de course les classes où les attendaient les instituteurs.
‘’Je suis heureux de retrouver le chemin de l’école après trois semaines passées à la maison à ne rien faire’’, a fait savoir Balla Junior Koné, élève en classe de 4è dans un établissement privé de la ville où les cours avaient également été perturbés par ce débrayage des fonctionnaires.
‘’Je suis très heureux de constater l’effectivité de la reprise du travail dans mon établissement’’, s’est réjoui à son tour à la fin d’une tournée d’inspection, le président de l’association des parents d’élèves du groupe scolaire Plateau.
Cependant, a plaidé l’ex-enseignant à la retraite, ‘’nous souhaitons que le gouvernement règle au plus tôt le problème (…) afin d’éviter d’autres désagréments’’.
Au Centre hospitalier et universitaire (CHU) de Bouaké, le pool de consultation en médecine et en chirurgie a retrouvé son ambiance habituelle où les patients étaient habituellement refoulés tout au long de ces trois dernières semaines.
Les fonctionnaires ont paralysé l’administration pour réclamer notamment le retrait de la loi de 2012 sur la pension de retraite ainsi que le paiement des arriérés des effets financiers de la revalorisation salariale en 2009.
Après avoir obtenu satisfaction à quatre revendications sur six, les syndicats ont suspendu leur grève pour un mois pour donner une chance aux négociations qui se poursuivent avec le gouvernement à travers un Comité qui a été mis en place.
CK/ls