Abidjan - Le journaliste et enseignant Zio Moussa a exhorté à la vulgarisation du baromètre des médias africains (BMA), lors de la restitution mardi à Abidjan de l’édition 2016, pour la Côte d’Ivoire, de cet outil d’analyse qui permet d’évaluer l’environnement médiatique d’un pays.
Pour Zio Moussa qui procédait à la présentation du document, l’initiateur du BMA, Friedrich Ebert Stiftung doit œuvrer à sa vulgarisation auprès des publics concernés ainsi que des autorités aux fins d’impacter « le journalisme et la liberté d’expression qui ont de beaux jours en perspective ».
Zio s’est félicité des changements opérés dans l’environnement des médias ces années-ci, notamment la loi sur l’accès à l’information, la création de la CAIDP, l’application de la convention collective, le démarrage du processus de libéralisation du secteur télévisuel, le démarrage du processus de révision de la loi sur la presse de 2004 (…).
Séraphin Konan Kouamé, représentant Martin Johr, le représentant résidant de Friedrich Ebert Stiftung, a salué l’édition 2016 de BMA qui, selon lui, vise à améliorer la situation des médias. « Le BMA n’est pas conçu pour justifier les choix politiques gouvernementaux, mais se constitue en une auto-analyse critique exécutée par les professionnels des médias et de la perception générale de la société civile sur la situation des médias », a-t-il indiqué.
Tous les trois à quatre ans, une commission de 10 à 12 experts se réunit pour évaluer la situation des médias dans leur pays respectif. Après débat sur un indicateur, les membres du panel attribuent une note individuelle pour cet indicateur par vote anonyme et en accord avec des critères, explique-t-on.
(AIP)
gak/kam/akn/kp
Pour Zio Moussa qui procédait à la présentation du document, l’initiateur du BMA, Friedrich Ebert Stiftung doit œuvrer à sa vulgarisation auprès des publics concernés ainsi que des autorités aux fins d’impacter « le journalisme et la liberté d’expression qui ont de beaux jours en perspective ».
Zio s’est félicité des changements opérés dans l’environnement des médias ces années-ci, notamment la loi sur l’accès à l’information, la création de la CAIDP, l’application de la convention collective, le démarrage du processus de libéralisation du secteur télévisuel, le démarrage du processus de révision de la loi sur la presse de 2004 (…).
Séraphin Konan Kouamé, représentant Martin Johr, le représentant résidant de Friedrich Ebert Stiftung, a salué l’édition 2016 de BMA qui, selon lui, vise à améliorer la situation des médias. « Le BMA n’est pas conçu pour justifier les choix politiques gouvernementaux, mais se constitue en une auto-analyse critique exécutée par les professionnels des médias et de la perception générale de la société civile sur la situation des médias », a-t-il indiqué.
Tous les trois à quatre ans, une commission de 10 à 12 experts se réunit pour évaluer la situation des médias dans leur pays respectif. Après débat sur un indicateur, les membres du panel attribuent une note individuelle pour cet indicateur par vote anonyme et en accord avec des critères, explique-t-on.
(AIP)
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