La sélection nationale de football seniors, et A’ est depuis le dimanche 29 janvier 2017 sans sélectionneur. Michel Dussuyer a rendu sa démission suite à la débâcle des Eléphants à la 31e édition de la Coupe d’Afrique des Nations au Gabon.
Le comité exécutif de la FIF, présidé par Augustin Sidy Diallo se lancera dans les jours à venir à la recherche d’un nouvel entraîneur pour la Côte d’Ivoire en vue de préparer, les éliminatoires du Chan 2018 au Kenya, les éliminatoires de la CAN 2019 au Cameroun et les éliminatoires de la Coupe du Monde 2018 en Russie. Avec pour objectif de se qualifier pour ces différentes échéances internationales. Le comité exécutif de la FIF entend donc tirer les enseignements de cet échec afin de mieux préparer ces compétitions à venir. « Nous devons tirer les enseignants de cet échec. Je considère que nous sommes venus apprendre d'autant plus qu'il y a de jeunes joueurs dans cette équipe. Nous allons rentrer à Abidjan et analyser la situation afin de prendre des décisions qui s’imposent. Je sais qu'il y aura des changements à apporter mais je ne suis pas le seul à prendre les décisions », avait confié Sidy Diallo à Oyem. Pour le choix du nouvel entraîneur, la FIF mettra à jour ses critères que sont : « Etre titulaire d’un diplôme d’entraîneur de haut niveau ; Avoir une bonne expérience internationale, Etre disposé à résider en Côte d’Ivoire pendant la durée du contrat ; Avoir une grande capacité d’adaptation et une aptitude au travail en équipe ; Savoir parler le Français ». Dans la sphère du footballistique ivoirien l’on pense déjà qu’il serait important pour la FIF de se pencher sur le cas des entraîneurs locaux dans cette œuvre de reconstruction de la sélection nationale de football. « Il ne faudrait pas choisir un sélectionneur qui a un grand diplôme mais qui n’a pas une bonne expérience internationale. Il est aussi nécessaire que le prochain sélectionneur des Eléphants de Côte d’Ivoire ait une connaissance nette de l’environnement du football ivoirien (…) L’équipe de la Côte d’Ivoire est en reconstruction. Le nouvel entraîneur aura la charge de reconstruire cette équipe avec de nouveaux joueurs à intégrer. Il faudra que le nouvel entraîneur puisse sortir de nouveaux joueurs qui pourront s’intégrer dans cette vision. Sur le plan local, on peut trouver un entraîneur qui à cette carrure afin de bâtir cette nouvelle sélection », a confié Rigo Gervais. Pour lui, il faudra confier cette sélection à Kamara Ibrahim. « Pour moi comme je l’ai toujours dit chaque sélection doit être entraîné par un local de la même manière que le Brésil est entraîné par un brésilien. La Côte d’Ivoire doit être entraîné par un ivoirien parce-que les entraîneurs Ivoiriens sont bons et ils l'ont démontrés à maintes reprises dans les compétitions africaines tant en sélection qu’en Club. Kamara Ibrahim a été l’adjoint d’Hervé Renard. Il a été aussi l’adjoint de Michel Dussuyer. Il connaît bien la sélection. Il a eu le temps de s’imprégner des réalités de la sélection. Il est aussi celui qui a donné le trophée de la CAN des U17 à la Côte d’Ivoire en 2013. Il serait logiquement qu’aujourd’hui, il devienne le sélectionneur national des Eléphants. A Kamara Ibrahim, il faut ajouter Alain Gouamené », a proposé l’ancien coach de l’Africa Sports d’Abidjan. Tout comme Rigo Gervais, Yssouf Diabaté, président du Sporting Club de Gagnoa pense également aux entraîneurs locaux. « Il faudra penser à des entraîneurs locaux. Ils peuvent faire l’affaire de la sélection nationale. En parlant, je pense à Kamara Ibrahim, Alain Gouamené, Amani Yao. Un entraineur local sur le banc de la sélection fera aussi la promotion du football local, par ricochet les joueurs du championnat de Ligue 1 », a appuyé le président du Sporting.
Ange K
Le comité exécutif de la FIF, présidé par Augustin Sidy Diallo se lancera dans les jours à venir à la recherche d’un nouvel entraîneur pour la Côte d’Ivoire en vue de préparer, les éliminatoires du Chan 2018 au Kenya, les éliminatoires de la CAN 2019 au Cameroun et les éliminatoires de la Coupe du Monde 2018 en Russie. Avec pour objectif de se qualifier pour ces différentes échéances internationales. Le comité exécutif de la FIF entend donc tirer les enseignements de cet échec afin de mieux préparer ces compétitions à venir. « Nous devons tirer les enseignants de cet échec. Je considère que nous sommes venus apprendre d'autant plus qu'il y a de jeunes joueurs dans cette équipe. Nous allons rentrer à Abidjan et analyser la situation afin de prendre des décisions qui s’imposent. Je sais qu'il y aura des changements à apporter mais je ne suis pas le seul à prendre les décisions », avait confié Sidy Diallo à Oyem. Pour le choix du nouvel entraîneur, la FIF mettra à jour ses critères que sont : « Etre titulaire d’un diplôme d’entraîneur de haut niveau ; Avoir une bonne expérience internationale, Etre disposé à résider en Côte d’Ivoire pendant la durée du contrat ; Avoir une grande capacité d’adaptation et une aptitude au travail en équipe ; Savoir parler le Français ». Dans la sphère du footballistique ivoirien l’on pense déjà qu’il serait important pour la FIF de se pencher sur le cas des entraîneurs locaux dans cette œuvre de reconstruction de la sélection nationale de football. « Il ne faudrait pas choisir un sélectionneur qui a un grand diplôme mais qui n’a pas une bonne expérience internationale. Il est aussi nécessaire que le prochain sélectionneur des Eléphants de Côte d’Ivoire ait une connaissance nette de l’environnement du football ivoirien (…) L’équipe de la Côte d’Ivoire est en reconstruction. Le nouvel entraîneur aura la charge de reconstruire cette équipe avec de nouveaux joueurs à intégrer. Il faudra que le nouvel entraîneur puisse sortir de nouveaux joueurs qui pourront s’intégrer dans cette vision. Sur le plan local, on peut trouver un entraîneur qui à cette carrure afin de bâtir cette nouvelle sélection », a confié Rigo Gervais. Pour lui, il faudra confier cette sélection à Kamara Ibrahim. « Pour moi comme je l’ai toujours dit chaque sélection doit être entraîné par un local de la même manière que le Brésil est entraîné par un brésilien. La Côte d’Ivoire doit être entraîné par un ivoirien parce-que les entraîneurs Ivoiriens sont bons et ils l'ont démontrés à maintes reprises dans les compétitions africaines tant en sélection qu’en Club. Kamara Ibrahim a été l’adjoint d’Hervé Renard. Il a été aussi l’adjoint de Michel Dussuyer. Il connaît bien la sélection. Il a eu le temps de s’imprégner des réalités de la sélection. Il est aussi celui qui a donné le trophée de la CAN des U17 à la Côte d’Ivoire en 2013. Il serait logiquement qu’aujourd’hui, il devienne le sélectionneur national des Eléphants. A Kamara Ibrahim, il faut ajouter Alain Gouamené », a proposé l’ancien coach de l’Africa Sports d’Abidjan. Tout comme Rigo Gervais, Yssouf Diabaté, président du Sporting Club de Gagnoa pense également aux entraîneurs locaux. « Il faudra penser à des entraîneurs locaux. Ils peuvent faire l’affaire de la sélection nationale. En parlant, je pense à Kamara Ibrahim, Alain Gouamené, Amani Yao. Un entraineur local sur le banc de la sélection fera aussi la promotion du football local, par ricochet les joueurs du championnat de Ligue 1 », a appuyé le président du Sporting.
Ange K