Abidjan (Côte d’Ivoire) - Une scène de déception s’est emparée, mercredi soir, de la Côte d’Ivoire après l’élimination des Etalons du Burkina Faso de la Coupe d’Afrique des Nations (CAN) 2017 de football , à l’issue d’une défaite (3-4 tirs-au-but) contre l’Egypte, a constaté un journaliste de APA sur place.
L’Egypte va disputer sa 9è finale de CAN de son histoire dans un contexte d’énorme déception pour les Burkinabè qui ont réalisé de grands efforts pendant les 120 minutes de jeu. Mais les Pharaons ont su rester fidèles à leurs principes en étant patients et efficaces.
De Port-Bouët (Sud d’Abidjan) à Abobo (Nord d’Abidjan) en passant par Koumassi, Marcory, Treichville et Adjamé, un calme plat régnait dans les rues après cette défaite des Etalons.
‘’Avec l’élimination des Eléphants au premier tour, tous considérons ici cette équipe du Burkina Faso comme l’équipe B de la Côte d’Ivoire. C’est pourquoi, nous l’avons supportée jusqu’au bout’’, explique Alain Kouamé, rencontré à Adjamé-Liberté (Centre d’Abidjan) où il avait prévu ‘’faire la fête’’ avec des amis burkinabè.
En dépit de cette défaite, certains membres de la colonie burkinabè estimée à près de 4 millions de personnes en Côte d’Ivoire n’ont pas boudé leur plaisir. ‘’Je pense que c’est un parcours honorable. Cette équipe du Burkina mérite d’être célébrée et c’est ce que nous faisons’’, a renchéri Gilbert Sawadogo, assis sous le préau d’un maquis (buvette) toujours à Adjamé-Liberté et au-dessus duquel flottait le drapeau national bicolore (rouge et vert) du Burkina Faso.
Les mêmes scènes de déceptions ont été également constatées dans plusieurs villes de l’intérieur du pays notamment à Bouaflé (Centre-Ouest), Soubré et San-Pédro (Sud-Ouest) et à Bouaké (Centre).
LS/APA
L’Egypte va disputer sa 9è finale de CAN de son histoire dans un contexte d’énorme déception pour les Burkinabè qui ont réalisé de grands efforts pendant les 120 minutes de jeu. Mais les Pharaons ont su rester fidèles à leurs principes en étant patients et efficaces.
De Port-Bouët (Sud d’Abidjan) à Abobo (Nord d’Abidjan) en passant par Koumassi, Marcory, Treichville et Adjamé, un calme plat régnait dans les rues après cette défaite des Etalons.
‘’Avec l’élimination des Eléphants au premier tour, tous considérons ici cette équipe du Burkina Faso comme l’équipe B de la Côte d’Ivoire. C’est pourquoi, nous l’avons supportée jusqu’au bout’’, explique Alain Kouamé, rencontré à Adjamé-Liberté (Centre d’Abidjan) où il avait prévu ‘’faire la fête’’ avec des amis burkinabè.
En dépit de cette défaite, certains membres de la colonie burkinabè estimée à près de 4 millions de personnes en Côte d’Ivoire n’ont pas boudé leur plaisir. ‘’Je pense que c’est un parcours honorable. Cette équipe du Burkina mérite d’être célébrée et c’est ce que nous faisons’’, a renchéri Gilbert Sawadogo, assis sous le préau d’un maquis (buvette) toujours à Adjamé-Liberté et au-dessus duquel flottait le drapeau national bicolore (rouge et vert) du Burkina Faso.
Les mêmes scènes de déceptions ont été également constatées dans plusieurs villes de l’intérieur du pays notamment à Bouaflé (Centre-Ouest), Soubré et San-Pédro (Sud-Ouest) et à Bouaké (Centre).
LS/APA