Abidjan- Soixante-douze membres du corps professoral de l'Université de Technologie Sharif ont, dans une lettre, appelé le gouvernement iranien à une réaction différente à l’égard du décret du président américain Donald Trump sur l'interdiction d'entrée aux États-Unis des ressortissants de sept pays, y compris l’Iran.
Selon eux, le but de leur appel est de neutraliser les conséquences négatives de la discrimination injuste portée contre les citoyens et les ressortissants iraniens aux États-Unis, rapporte l'Agence de presse iranienne (IRNA).
Pour les 72 signataires du courrier, en prenant une telle mesure innovatrice, l'Iran va démontrer une fois de plus que sa politique sur la scène internationale est basée sur des principes moraux.
Donald Trump a signé dès sa première semaine à la Maison-Blanche, plusieurs décrets dont l'un empêchant l'émission de visas pour les ressortissants venant de la Syrie, de l'Irak, de l'Iran, de la Libye, de la Somalie, du Soudan et du Yémen, tous des pays à majorité musulmane.
Le décret présidentiel avait été attaqué en justice par plusieurs avocats et organisations de défense des droits, après que quelques 200 passagers en provenance des pays concernés, titulaires de visas ou d'autorisations de séjour, avaient été arrêtés à l'atterrissage de leur avion.
sdaf/cmas
Selon eux, le but de leur appel est de neutraliser les conséquences négatives de la discrimination injuste portée contre les citoyens et les ressortissants iraniens aux États-Unis, rapporte l'Agence de presse iranienne (IRNA).
Pour les 72 signataires du courrier, en prenant une telle mesure innovatrice, l'Iran va démontrer une fois de plus que sa politique sur la scène internationale est basée sur des principes moraux.
Donald Trump a signé dès sa première semaine à la Maison-Blanche, plusieurs décrets dont l'un empêchant l'émission de visas pour les ressortissants venant de la Syrie, de l'Irak, de l'Iran, de la Libye, de la Somalie, du Soudan et du Yémen, tous des pays à majorité musulmane.
Le décret présidentiel avait été attaqué en justice par plusieurs avocats et organisations de défense des droits, après que quelques 200 passagers en provenance des pays concernés, titulaires de visas ou d'autorisations de séjour, avaient été arrêtés à l'atterrissage de leur avion.
sdaf/cmas