Abidjan- La Fédération Internationale des Journalistes (FIJ), a condamné mercredi la fermeture de deux organes de presse, la télévision LCF (la chaîne du futur) et la radio City FM par la Haute autorité de l’audiovisuel et de la communication (HAAC) du Togo.
Selon un communiqué de la FIJ parvenu à l’AIP, le président de la HAAC, M. Pitang Tchalla, dans une décision datée du 6 février, a ordonné le retrait des fréquences radioélectriques de la télévision LCF (la chaîne du futur) et de la radio City FM appartenant toutes deux au Groupe Sud Média, sur la base que ces deux organes n’auraient pas obtenu d’autorisation préalable au démarrage de leurs activités en 2008. une information confirmée par les organes.
«Nous appelons le président de la HAAC à revenir sur sa décision et à privilégier le dialogue déjà entamé, afin de permettre le bon développement des médias dans le pays », a déclaré Anthony Bellanger, secrétaire général de la FIJ, précisant que c’est le rôle de l’organe de régulation de mener de telles actions.
La FIJ estime que cette décision réduit l’espace de liberté et porte atteinte à la pluralité ainsi qu’à la diversité du paysage médiatique togolais.
«Nous nous joignons à notre affiliée pour exiger que cette décision soit annulée sans délai, afin que de vraies négociations s’ouvrent avec la LCF et CITY FM en vue de la régularisation de leur situation », a conclu le Secrétaire général de la FIJ.
kam
Selon un communiqué de la FIJ parvenu à l’AIP, le président de la HAAC, M. Pitang Tchalla, dans une décision datée du 6 février, a ordonné le retrait des fréquences radioélectriques de la télévision LCF (la chaîne du futur) et de la radio City FM appartenant toutes deux au Groupe Sud Média, sur la base que ces deux organes n’auraient pas obtenu d’autorisation préalable au démarrage de leurs activités en 2008. une information confirmée par les organes.
«Nous appelons le président de la HAAC à revenir sur sa décision et à privilégier le dialogue déjà entamé, afin de permettre le bon développement des médias dans le pays », a déclaré Anthony Bellanger, secrétaire général de la FIJ, précisant que c’est le rôle de l’organe de régulation de mener de telles actions.
La FIJ estime que cette décision réduit l’espace de liberté et porte atteinte à la pluralité ainsi qu’à la diversité du paysage médiatique togolais.
«Nous nous joignons à notre affiliée pour exiger que cette décision soit annulée sans délai, afin que de vraies négociations s’ouvrent avec la LCF et CITY FM en vue de la régularisation de leur situation », a conclu le Secrétaire général de la FIJ.
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