Le président de Liberté et Démocratie pour la République (LIDER), le Pr Mamadou Koulibaly, invite le gouvernement à respecter la liberté de la presse en Côte d’Ivoire et à libérer les six journalistes interpellés dimanche.
Lors d’un point de presse, lundi, au siège de son parti à Cocody, Mamadou Koulibaly a jugé « illégale » la procédure judiciaire concerne ces hommes de médias. « La détention de six journalistes, depuis dimanche, pour atteinte à la sûreté de l’Etat est très étonnante. Nous disons non à ce non-respect de la liberté de la presse », a –t-il déclaré.
Le président de LIDER dit ne pas comprendre que des journalistes soient interpellés pour l’utilisation de la plume et de l’ordinateur.
Des responsables de plusieurs quotidiens ont été entendus, dimanche, par la brigade de recherche avant de les garder à vue au camp de gendarmerie d’Agban. Il est reproché à leurs organes de presse d’avoir divulgué de « fausses informations de nature à inciter les soldats à la révolte », selon un communiqué du procureur de la République qui « en appelle à la responsabilité des dirigeants des organes de presse face à ce genre de dérives susceptibles de troubler gravement à l’ordre public ».
Sgb/nmfa/kp
Lors d’un point de presse, lundi, au siège de son parti à Cocody, Mamadou Koulibaly a jugé « illégale » la procédure judiciaire concerne ces hommes de médias. « La détention de six journalistes, depuis dimanche, pour atteinte à la sûreté de l’Etat est très étonnante. Nous disons non à ce non-respect de la liberté de la presse », a –t-il déclaré.
Le président de LIDER dit ne pas comprendre que des journalistes soient interpellés pour l’utilisation de la plume et de l’ordinateur.
Des responsables de plusieurs quotidiens ont été entendus, dimanche, par la brigade de recherche avant de les garder à vue au camp de gendarmerie d’Agban. Il est reproché à leurs organes de presse d’avoir divulgué de « fausses informations de nature à inciter les soldats à la révolte », selon un communiqué du procureur de la République qui « en appelle à la responsabilité des dirigeants des organes de presse face à ce genre de dérives susceptibles de troubler gravement à l’ordre public ».
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