Les six journalistes ivoiriens accusés de diffusion de ‘’fausses informations’’ ont été libérés mardi soir peu après 18h00 (heure locale et Gmt), a constaté APA sur place dans la capitale économique ivoirienne.
Vamara Coulibaly, Gbané Yacouba, Bamba Franck Mamadou, respectivement directeurs de publication des quotidiens ’’L’Inter et Soir info’’, ’’Le Temps’’ et ‘’Notre Voie’’ ainsi que leurs collaborateurs Hamadou Ziao, Jean Bedel Gnaoré et Ferdinand Bailly sont les six journalistes qui étaient détenus depuis dimanche soir.
Selon Vamara Coulibaly, malgré cette libération, ils restent ’’inculpés et à la disposition’’ de la justice ivoirienne. Les six journalistes ont été inculpés pour divulgation de fausses informations et atteinte à la sûreté de l’Etat.
Les journalistes incriminés ont, pour selon le Procureur de la République, diffusé de « fausses informations et incité à la révolte des soldats» à travers leurs écrits sur la récente mutinerie des Forces spéciales d’Adiaké au Sud-Est du pays.
Les organisations professionnelles des médias qui réclamaient la libération de ces journalistes avaient décidé, mardi, de boycotter les activités gouvernementales.
MC/sy/hs/ls/APA
Vamara Coulibaly, Gbané Yacouba, Bamba Franck Mamadou, respectivement directeurs de publication des quotidiens ’’L’Inter et Soir info’’, ’’Le Temps’’ et ‘’Notre Voie’’ ainsi que leurs collaborateurs Hamadou Ziao, Jean Bedel Gnaoré et Ferdinand Bailly sont les six journalistes qui étaient détenus depuis dimanche soir.
Selon Vamara Coulibaly, malgré cette libération, ils restent ’’inculpés et à la disposition’’ de la justice ivoirienne. Les six journalistes ont été inculpés pour divulgation de fausses informations et atteinte à la sûreté de l’Etat.
Les journalistes incriminés ont, pour selon le Procureur de la République, diffusé de « fausses informations et incité à la révolte des soldats» à travers leurs écrits sur la récente mutinerie des Forces spéciales d’Adiaké au Sud-Est du pays.
Les organisations professionnelles des médias qui réclamaient la libération de ces journalistes avaient décidé, mardi, de boycotter les activités gouvernementales.
MC/sy/hs/ls/APA