Le directeur de publication des quotidiens Soir Info et L’inter, Vamara Coulibaly l’un des six journalistes ivoiriens interpellés dimanche pour "divulgation de fausses informations" sur la mutinerie des forces spéciales à Adiaké (Sud-est), a estimé que "les actions menées par les autres journalistes ont favorisé leur libération" intervenue mardi.
"Nous reconnaissons qu’une prison s’ouvre de l’extérieur", a déclaré M. Vamara, ajoutant qu’ils ont "douté" par moment de cette libération.
Mardi plus d’une trentaine de journalistes et hommes de médias se sont réunis au palais de justice du Plateau (centre des affaires) où les six journalistes ont été entendus par le procureur de la République.
Pour Vamara Coulibaly, la mobilisation des journalistes a "beaucoup joué" en faveur de leur libération.
Accusés d’avoir divulgué de fausses informations, de porter atteinte à la défense et à la sûreté de l’Etat" les journalistes disent ne pas se reconnaître dans les faits qui leur sont reprochés, estimant "qu’ils ont faits leur travail : celui d’informer".
"Nous sommes inculpés mais nous pensons que nous allons être totalement blanchis", a conclu Vamara Coulibaly.
Vamara Coulibaly, Yacouba Gbané et Franck Bamba Mamadou, respectivement directeurs de publication des quotidiens ivoiriens l’Inter et Soir Info (indépendants), du Temps (opposition) et de Notre Voie (opposition), qui répondaient à une convocation de la gendarmerie, ont été arrêtés et incarcérés au camp de gendarmerie d’Agban.
Ces patrons étaient détenus en même temps que leurs collaborateurs Hamadou Ziao (rédacteur en chef de l’Inter), Jean Bédel Gnago (Soir info) et Ferdinand Bailly (Le temps).
Ils étaient accusés par les autorités d’avoir "divulgué de fausses informations" sur la récente mutinerie de soldats en Côte d’Ivoire.
LKO
"Nous reconnaissons qu’une prison s’ouvre de l’extérieur", a déclaré M. Vamara, ajoutant qu’ils ont "douté" par moment de cette libération.
Mardi plus d’une trentaine de journalistes et hommes de médias se sont réunis au palais de justice du Plateau (centre des affaires) où les six journalistes ont été entendus par le procureur de la République.
Pour Vamara Coulibaly, la mobilisation des journalistes a "beaucoup joué" en faveur de leur libération.
Accusés d’avoir divulgué de fausses informations, de porter atteinte à la défense et à la sûreté de l’Etat" les journalistes disent ne pas se reconnaître dans les faits qui leur sont reprochés, estimant "qu’ils ont faits leur travail : celui d’informer".
"Nous sommes inculpés mais nous pensons que nous allons être totalement blanchis", a conclu Vamara Coulibaly.
Vamara Coulibaly, Yacouba Gbané et Franck Bamba Mamadou, respectivement directeurs de publication des quotidiens ivoiriens l’Inter et Soir Info (indépendants), du Temps (opposition) et de Notre Voie (opposition), qui répondaient à une convocation de la gendarmerie, ont été arrêtés et incarcérés au camp de gendarmerie d’Agban.
Ces patrons étaient détenus en même temps que leurs collaborateurs Hamadou Ziao (rédacteur en chef de l’Inter), Jean Bédel Gnago (Soir info) et Ferdinand Bailly (Le temps).
Ils étaient accusés par les autorités d’avoir "divulgué de fausses informations" sur la récente mutinerie de soldats en Côte d’Ivoire.
LKO