Abidjan (Côte d’Ivoire) -La Côte d’Ivoire compte pour cette campagne 2017 ouverte, ce jeudi produire autour de 715 000 tonnes d’anacarde, selon, Mamadou Bamba, le Président du Conseil d’administration de cette filière.
Img : Filière anacarde: quelque 715 000 tonnes de production attendues en Côte d’Ivoire (Président))
« Nous attendons une reprise totale de la production de la noix de cajou qui devrait se situer autour de 715 000 tonnes. Les conditions climatiques plus favorables enregistrées devraient nous assurer d’atteindre ces prévisions », a expliqué le Président du Conseil d’Administration, lors du lancement de cette campagne.
« Cette campagne, pour laquelle le prix minimum bord champ est de 440 FCFA, sera également encadrée par les dispositions en vigueur depuis la mise en place de la réforme », a poursuivi M. Bamba.
Il s’agit entre autres des interdictions pour ‘’les producteurs de vendre des produits humides, pour les acheteurs agréés de décharger dans les entrepôts portuaires des noix de cajou humides c’est-à-dire dont le taux d’humidité est supérieure à 10 % , desexportations frauduleuses par les frontières terrestres ‘’, a-t-il rappelé.
« J’enappelle à l’esprit de solidarité et à la concurrence loyale pourune campagne apaisée qui permette à chacun d’en tirer profit de sesactivités », a exhorté Mamadou Bamba.
Le directeur de cabinet du ministère de l’agriculture et du développement rural,Siaka Minaya Coulibaly a pour sa part invité « les acteurs dela filière à la mise en place d’une interprofession avant le début de lacampagne 2018 ». Toute chose qui apportera une valeur ajoutée et qui favorisera le développement de cette filière.
Cette campagne est la quatrième mise en œuvre depuis la réforme de la filière anacarde adoptée en 2013 par le gouvernement ivoirien dans le but d’améliorer durablement le revenu du producteur à travers un prix bord champ rémunérateur.
En2016, ce pays a enregistré 649 587 tonnes de noix brut de cajou et transformé localement 40 383 tonnes soit 6%. La Côte d’Ivoire est le premier producteur mondial de noix de cajou avec environs 25 % de la production et le premier exportateur mondial avec 40 % de l’offre mondiale.
SY/hs/ls/APA
Img : Filière anacarde: quelque 715 000 tonnes de production attendues en Côte d’Ivoire (Président))
« Nous attendons une reprise totale de la production de la noix de cajou qui devrait se situer autour de 715 000 tonnes. Les conditions climatiques plus favorables enregistrées devraient nous assurer d’atteindre ces prévisions », a expliqué le Président du Conseil d’Administration, lors du lancement de cette campagne.
« Cette campagne, pour laquelle le prix minimum bord champ est de 440 FCFA, sera également encadrée par les dispositions en vigueur depuis la mise en place de la réforme », a poursuivi M. Bamba.
Il s’agit entre autres des interdictions pour ‘’les producteurs de vendre des produits humides, pour les acheteurs agréés de décharger dans les entrepôts portuaires des noix de cajou humides c’est-à-dire dont le taux d’humidité est supérieure à 10 % , desexportations frauduleuses par les frontières terrestres ‘’, a-t-il rappelé.
« J’enappelle à l’esprit de solidarité et à la concurrence loyale pourune campagne apaisée qui permette à chacun d’en tirer profit de sesactivités », a exhorté Mamadou Bamba.
Le directeur de cabinet du ministère de l’agriculture et du développement rural,Siaka Minaya Coulibaly a pour sa part invité « les acteurs dela filière à la mise en place d’une interprofession avant le début de lacampagne 2018 ». Toute chose qui apportera une valeur ajoutée et qui favorisera le développement de cette filière.
Cette campagne est la quatrième mise en œuvre depuis la réforme de la filière anacarde adoptée en 2013 par le gouvernement ivoirien dans le but d’améliorer durablement le revenu du producteur à travers un prix bord champ rémunérateur.
En2016, ce pays a enregistré 649 587 tonnes de noix brut de cajou et transformé localement 40 383 tonnes soit 6%. La Côte d’Ivoire est le premier producteur mondial de noix de cajou avec environs 25 % de la production et le premier exportateur mondial avec 40 % de l’offre mondiale.
SY/hs/ls/APA