Le mardi 14 février 2017, six (6) Journalistes dont trois directeurs de publication, ont été inculpés pour «divulgation de fausses nouvelles, incitations de militaires à l’insoumission et à la rébellion, atteintes à l’Autorité de l’Etat et publication d’informations fausses se rapportant au secret de défense et à la sûreté de l’Etat».
Ces inculpations font suite à leur interpellation, le dimanche 12 février 2017, par la Gendarmerie Nationale, sur instruction du Procureur de la République d’Abidjan-Plateau, et leur garde-à-vue dans les locaux du Camp de Gendarmerie d’Agban.
La Commission Nationale des Droits de l’Homme de Côte d’Ivoire (CNDHCI), a rencontré le lundi 13 février 2017, les Organisations et Associations Professionnelles du secteur de la Presse, à la Maison de la Presse, au Plateau, et le Procureur de la République, le mardi 14 février 2017, à son Cabinet.
La CNDHCI se réjouit de la remise en liberté des Journalistes.
La CNDHCI se satisfait de ce qu’un Juge d’Instruction ait été saisi pour instruire à charge et à décharge sur des accusations d’une telle gravité.
Par conséquent, elle appelle chacune des parties au respect des obligations tant dans l’exercice de leur métier que dans le cadre de cette information judiciaire.
La Commission invite enfin toutes les parties au calme, à la retenue, et à faire confiance à la Justice.
Fait à Abidjan, le 16 février 2017
La Présidente
Namizata SANGARE
Ces inculpations font suite à leur interpellation, le dimanche 12 février 2017, par la Gendarmerie Nationale, sur instruction du Procureur de la République d’Abidjan-Plateau, et leur garde-à-vue dans les locaux du Camp de Gendarmerie d’Agban.
La Commission Nationale des Droits de l’Homme de Côte d’Ivoire (CNDHCI), a rencontré le lundi 13 février 2017, les Organisations et Associations Professionnelles du secteur de la Presse, à la Maison de la Presse, au Plateau, et le Procureur de la République, le mardi 14 février 2017, à son Cabinet.
La CNDHCI se réjouit de la remise en liberté des Journalistes.
La CNDHCI se satisfait de ce qu’un Juge d’Instruction ait été saisi pour instruire à charge et à décharge sur des accusations d’une telle gravité.
Par conséquent, elle appelle chacune des parties au respect des obligations tant dans l’exercice de leur métier que dans le cadre de cette information judiciaire.
La Commission invite enfin toutes les parties au calme, à la retenue, et à faire confiance à la Justice.
Fait à Abidjan, le 16 février 2017
La Présidente
Namizata SANGARE