Le président du Front populaire ivoirien (FPI), Pascal Affi N’Guessan sera face à la presse nationale et internationale cet après-midi à partir de 14 h, au siège de son parti, à Cocody-Les II Plateaux Attoban, non loin du commissariat de police du 30ème arrondissement. Selon ses services, il partagera avec les journalistes son opinion sur divers sujets de l’actualité sociopolitique et la vie de la nation de façon générale. Les dernières mutineries qui ont secoué l’armée dans ses différentes composantes, la longue grève des fonctionnaires qui a paralysé l’administration publique courant janvier 2017, le conflit né de la gestion de la question des souscriptions auprès des entreprises d’agro-business qui est en train de virer à l’affrontement entre le gouvernement et les souscripteurs, la réconciliation nationale qui est au point mort depuis plusieurs années, le rapport des parlementaires français sur la situation économique et politique de la Côte d’Ivoire, la crise du cacao qui a conduit depuis quelques jours des associations de producteurs de cacao à entamer une grève illimitée, les démêlées du gouvernement avec le principal syndicat estudiantin, la Fédération estudiantine et scolaire de côte d’Ivoire (FESCI), l’arrestation et la détention unanimement décriée de plusieurs journalistes sont entre autres sujets qui seront au centre des échanges entre le chef du FPI et les journalistes.
L’on se rappelle qu’il y a quelques semaines, au lendemain des premières mutineries et alors que la grève des fonctionnaires battait son plein, le numéro un du FPI, avait appelé à la mise en place d’un gouvernement d’union et de transition pour pallier l’échec du pouvoir. L’ancien Premier ministre avait alors entamé une campagne d’explication de sa position auprès des principales chancelleries représentées dans notre pays et de plusieurs organisations de la société civile.
Nul doute donc que cette conférence de presse sera aussi l’occasion pour le tout nouveau député de Bongouanou sous-préfecture, de faire le point de ses différents échanges. Et dire quelle est la perception de ses interlocuteurs de la situation générale du pays.
Guillaume T. Gbato
L’on se rappelle qu’il y a quelques semaines, au lendemain des premières mutineries et alors que la grève des fonctionnaires battait son plein, le numéro un du FPI, avait appelé à la mise en place d’un gouvernement d’union et de transition pour pallier l’échec du pouvoir. L’ancien Premier ministre avait alors entamé une campagne d’explication de sa position auprès des principales chancelleries représentées dans notre pays et de plusieurs organisations de la société civile.
Nul doute donc que cette conférence de presse sera aussi l’occasion pour le tout nouveau député de Bongouanou sous-préfecture, de faire le point de ses différents échanges. Et dire quelle est la perception de ses interlocuteurs de la situation générale du pays.
Guillaume T. Gbato