Grand-Bassam – Une cinquantaine d’enseignants syndicalistes de la Côte d’Ivoire, de la République démocratique du Congo et d’Haïti prennent part, de mardi à vendredi, à un atelier d’échanges et de partage d’expériences visant à renforcer les capacités des enseignants et de leurs organisations pour participer efficacement au dialogue social engagé avec les gouvernants sur les politiques destinées à améliorer l’efficacité de l’enseignement et la qualité de l’éducation dispensée aux élèves.
Au terme de cet atelier, il sera question d’élaborer une approche ou un cadre générique en vue de favoriser le développement professionnel des enseignants en fonction et leur permettre de participer efficacement au dialogue social afin d’orienter les réformes des politiques enseignantes.
Pour le représentant de l’UNESCO, Yao Ydo, la qualité de l’éducation ne peut se faire sans les enseignants. Les standards internationaux qui sont d’au moins 850 heures par an, constituent la condition sine qua non de cette qualité de l’enseignement et pour y parvenir, précise-t-il, il faut un dialogue franc et constructif entre les responsables de l’éducation et les enseignants.
« L’expérience des pays comme la RDC et Haïti pourra faciliter la situation en Côte d’Ivoire », a-t-il dit.
Le directeur du bureau de l’UNESCO à Abuja, Edem Adubra, a estimé que le partage d’expériences et des résultats en plénière et en ateliers permettra de toucher la question du bon fonctionnement du système éducatif ivoirien au regard des perturbations enregistrées au cours de cette année scolaire.
Au nom de la ministre de l’Education nationale de l’Enseignement technique et de la Formation professionnelle, le préfet de Grand-Bassam, Amakou Kassi Gabin, a salué cette initiative de l’UNESCO d’appuyer la recherche de la qualité de l’enseignement dans les huit pays d’Afrique visés par ce projet, à savoir la République démocratique du Congo, la Côte d’Ivoire, le Liberia, la Sierra-Leone, le Bénin, le Mali, le Sénégal et l’Ouganda.
Cet atelier de l’UNESCO est organisé en partenariat avec l’Internationale de l'éducation (IE) avec un financement du Partenariat mondial pour l’éducation (PME).
ko/aaa/kp
Au terme de cet atelier, il sera question d’élaborer une approche ou un cadre générique en vue de favoriser le développement professionnel des enseignants en fonction et leur permettre de participer efficacement au dialogue social afin d’orienter les réformes des politiques enseignantes.
Pour le représentant de l’UNESCO, Yao Ydo, la qualité de l’éducation ne peut se faire sans les enseignants. Les standards internationaux qui sont d’au moins 850 heures par an, constituent la condition sine qua non de cette qualité de l’enseignement et pour y parvenir, précise-t-il, il faut un dialogue franc et constructif entre les responsables de l’éducation et les enseignants.
« L’expérience des pays comme la RDC et Haïti pourra faciliter la situation en Côte d’Ivoire », a-t-il dit.
Le directeur du bureau de l’UNESCO à Abuja, Edem Adubra, a estimé que le partage d’expériences et des résultats en plénière et en ateliers permettra de toucher la question du bon fonctionnement du système éducatif ivoirien au regard des perturbations enregistrées au cours de cette année scolaire.
Au nom de la ministre de l’Education nationale de l’Enseignement technique et de la Formation professionnelle, le préfet de Grand-Bassam, Amakou Kassi Gabin, a salué cette initiative de l’UNESCO d’appuyer la recherche de la qualité de l’enseignement dans les huit pays d’Afrique visés par ce projet, à savoir la République démocratique du Congo, la Côte d’Ivoire, le Liberia, la Sierra-Leone, le Bénin, le Mali, le Sénégal et l’Ouganda.
Cet atelier de l’UNESCO est organisé en partenariat avec l’Internationale de l'éducation (IE) avec un financement du Partenariat mondial pour l’éducation (PME).
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