Abidjan (Côte d’Ivoire) - Le Chef de l’Etat ivoirien Alassane Ouattara et le leader du Parti démocratique de Côte d’Ivoire (PDCI), Henri Konan Bédié ont déploré, mercredi soir à Abidjan, « la manière de revendiquer en brandissant les armes ».
« Nous avons déploré la manière de revendiquer en brandissant les armes (…) nous avons préconisé la patience », a indiqué l’ex-chef de l’Etat, Henri Konan Bédié, président du PDCI-RDA au terme d’un entretien d’environ une heure d’horloge avec son «frère» Alassane Ouattara.
Le président du plus vieux parti ivoirien justifiant cette visite a souligné qu’après une absence de près de tois mois à Abidjan, il a « décidé de revenir voir mon frère (…) pour en savoir davantage » sur les remous sociaux notamment des mutineries, la grogne sociale dont celle des fonctionnaires.
« Il s’est passé beaucoup de choses, des événements regrettables », a dénoncé Henri Konan Bedié qui quitte Alassane Ouattara étant rassuré que le « navire tient bon ».
« Il faut créer les richesses avant de les partager. La Côte d’Ivoire a besoin de la paix, sans paix rien n’est possible », a conclu M. Bédié réaffirmant son « soutien ferme » à Alassane Ouattara, son allié au sein du Rassemblement des houphouëtistes pour la démocratie et la paix (RHDP, coalition au pouvoir) .
SY/ls
« Nous avons déploré la manière de revendiquer en brandissant les armes (…) nous avons préconisé la patience », a indiqué l’ex-chef de l’Etat, Henri Konan Bédié, président du PDCI-RDA au terme d’un entretien d’environ une heure d’horloge avec son «frère» Alassane Ouattara.
Le président du plus vieux parti ivoirien justifiant cette visite a souligné qu’après une absence de près de tois mois à Abidjan, il a « décidé de revenir voir mon frère (…) pour en savoir davantage » sur les remous sociaux notamment des mutineries, la grogne sociale dont celle des fonctionnaires.
« Il s’est passé beaucoup de choses, des événements regrettables », a dénoncé Henri Konan Bedié qui quitte Alassane Ouattara étant rassuré que le « navire tient bon ».
« Il faut créer les richesses avant de les partager. La Côte d’Ivoire a besoin de la paix, sans paix rien n’est possible », a conclu M. Bédié réaffirmant son « soutien ferme » à Alassane Ouattara, son allié au sein du Rassemblement des houphouëtistes pour la démocratie et la paix (RHDP, coalition au pouvoir) .
SY/ls