Abidjan, 22 fév (AIP)- Le président du Parti démocratique de Côte d’Ivoire (PDCI), Henri Konan Bédié, a exprimé mercredi à Abidjan, son « ferme soutien » à son allié au sein du RHDP, le président de la République Alassane Ouattara, face à la situation sociopolitique maussade dans le pays notamment engendrée par des mutineries à répétition et une longue grève conduite par des fonctionnaires et agents de l’Etat, en début d’année.
De retour à Abidjan après près d’un trimestre passé à Daoukro, son village, le président Bédié était venu prendre des nouvelles du pays auprès du chef de l’Etat, « son frère » et particulièrement en savoir un peu plus sur les faits ci-dessus évoqués qu’il a qualifié de regrettables.
Reçu au palais de la présidence, au terme des échanges, il a marqué sa solidarité. « Je suis venu pour soutenir mon frère le président et de façon ferme, pour l’encourager pour qu’il tienne bon car la Côte d’Ivoire a besoin de la paix », a-t-il déclaré.
Il a reprouvé, concernant les mutineries, le choix opéré par les militaires de revendiquer en brandissant des armes. Évoquant la grève des fonctionnaires observée du 9 au 29 janvier, le président du PDCI a préconisé la patience, estimant que l’heure n’est pas encore au partage.
« Il faut d’abord créer les richesses avant de les partager », a-t-il fait remarquer, avant de traduire sa satisfaction quant à la conduite des affaires de l’Etat. « J’ai été très heureux de venir le voir (le Président Ouattara) et je le quitte en étant rassuré que le navire tient bon », a conclu Henri Konan Bédié.
(AIP)
kg/cmas
De retour à Abidjan après près d’un trimestre passé à Daoukro, son village, le président Bédié était venu prendre des nouvelles du pays auprès du chef de l’Etat, « son frère » et particulièrement en savoir un peu plus sur les faits ci-dessus évoqués qu’il a qualifié de regrettables.
Reçu au palais de la présidence, au terme des échanges, il a marqué sa solidarité. « Je suis venu pour soutenir mon frère le président et de façon ferme, pour l’encourager pour qu’il tienne bon car la Côte d’Ivoire a besoin de la paix », a-t-il déclaré.
Il a reprouvé, concernant les mutineries, le choix opéré par les militaires de revendiquer en brandissant des armes. Évoquant la grève des fonctionnaires observée du 9 au 29 janvier, le président du PDCI a préconisé la patience, estimant que l’heure n’est pas encore au partage.
« Il faut d’abord créer les richesses avant de les partager », a-t-il fait remarquer, avant de traduire sa satisfaction quant à la conduite des affaires de l’Etat. « J’ai été très heureux de venir le voir (le Président Ouattara) et je le quitte en étant rassuré que le navire tient bon », a conclu Henri Konan Bédié.
(AIP)
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