Le ministre des Sports et des Loisirs, François Albert Amichia, a invité vendredi, à Abidjan, la nouvelle génération d’athlètes ivoiriens à s’approprier les valeurs de feu Laurent Pokou, lors du message du gouvernement à la cérémonie de levée de corps, à la Morgue d’Ivosep de Treichville.
"Pokou a défendu les couleurs de la nation avec le talent qui était le sien mais avec l’amour qu’il avait pour sa patrie. Son courage et son amour du travail bien fait sont des valeurs dont la génération actuelle doit plus que jamais s’approprier", a-t-il souhaité.
Selon le ministre Amichia, il a prouvé à maintes occasions que sur le terrain, lorsque le coup d’envoi est donné, un athlète doit se battre avec la dernière énergie pour défendre les couleurs de son pays. Ce qui justifie le juste hommage à lui rendu pour surtout montrer à la jeunesse ivoirienne, "le patriotisme et l’héroïsme" dont il a su faire montre tout au long de sa carrière.
Au nom du gouvernement, M. Amichia a dit "merci " au défunt pour avoir fait entrer le football ivoirien dans le 20e siècle, d’avoir contribué par son talent au renom de « notre beau pays », d’avoir procuré de la joie aux amoureux du beau football, d’avoir montré le chemin de l’honneur et du dévouement pour la patrie à la jeunesse et d’avoir tout donné à son pays sans rien attendre en retour.
« J’ai la certitude que l’étoile de l’Homme d’Asmara continuera de briller dans l’espace qui lie le ciel et la terre (…) mais surtout elle continuera à briller dans notre quotidien quand il faudra se surpasser, se sublimer et parfois se faire mal pour réussir », a-t-il espéré.
Décédé le 13 novembre 2016, Laurent N’Dri Pokou sera inhumé samedi dans sa ville natale de Tiassalé où il est prévue une veillée funèbre à partir de 20 heures jusqu’à l’aube. Ancien international footballeur des années 1970, il était marié et père de cinq enfants.
fmo
"Pokou a défendu les couleurs de la nation avec le talent qui était le sien mais avec l’amour qu’il avait pour sa patrie. Son courage et son amour du travail bien fait sont des valeurs dont la génération actuelle doit plus que jamais s’approprier", a-t-il souhaité.
Selon le ministre Amichia, il a prouvé à maintes occasions que sur le terrain, lorsque le coup d’envoi est donné, un athlète doit se battre avec la dernière énergie pour défendre les couleurs de son pays. Ce qui justifie le juste hommage à lui rendu pour surtout montrer à la jeunesse ivoirienne, "le patriotisme et l’héroïsme" dont il a su faire montre tout au long de sa carrière.
Au nom du gouvernement, M. Amichia a dit "merci " au défunt pour avoir fait entrer le football ivoirien dans le 20e siècle, d’avoir contribué par son talent au renom de « notre beau pays », d’avoir procuré de la joie aux amoureux du beau football, d’avoir montré le chemin de l’honneur et du dévouement pour la patrie à la jeunesse et d’avoir tout donné à son pays sans rien attendre en retour.
« J’ai la certitude que l’étoile de l’Homme d’Asmara continuera de briller dans l’espace qui lie le ciel et la terre (…) mais surtout elle continuera à briller dans notre quotidien quand il faudra se surpasser, se sublimer et parfois se faire mal pour réussir », a-t-il espéré.
Décédé le 13 novembre 2016, Laurent N’Dri Pokou sera inhumé samedi dans sa ville natale de Tiassalé où il est prévue une veillée funèbre à partir de 20 heures jusqu’à l’aube. Ancien international footballeur des années 1970, il était marié et père de cinq enfants.
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