La note finale des activités du Don de gouvernance et de développement institutionnel (DGDI) est satisfaisante dans le cadre de sa mission d’appui au gouvernement pour la mise en œuvre des reformes visant à renforcer la bonne gouvernance, estime la coordonnatrice de ce projet, Mme Yao Madeleine.
A l’atelier de clôture du projet DGDI, jeudi au plateau, la coordonnatrice a relevé qu’avec une dotation initiale de 6,5 milliards F CFA, un appui budgétaire de 5,17 milliards F CFA et un financement additionnel de 2,5 milliards F CFA, ce projet institué en 2008 et financé par la Banque mondiale a permis des reformes qui ont apporté des transformations quantitatives et qualitatives aux bénéficiaires, par l’amélioration de leur performance.
Le DGDI a apporté son appui à l’amélioration de la gestion des finances publiques, de la gestion du secteur pétrolier en amont, dans le secteur café-cacoa et pour l’amélioration de l’accès du public à l’information économique et financière.
Au terme de huit années d’exécution, le DGDI enregistre ainsi un taux d’engagement et de décaissement de 100% au niveau du financement IDA (Association internationale de développement) et de l’appui budgétaire. Quand au niveau du financement additionnel, on note un taux d’engagement de 100% pour un taux de décaissement de 84%.
Pour le chargé de projet de la Banque Mondiale, Robert Yungu, il y a une juste amélioration de la gouvernance en Côte d’Ivoire avec des avancées notables au niveau de la transparence économique.
Une deuxième phase du projet DGDI est en cours d’élaboration, avec une sollicitation d’autres partenaires pour le renforcement des fonds, notamment l'Agence française de développement (AFD), la Banque africaine de développement (BAD), a assuré le directeur de cabinet du ministère de l’Economie et des Finances, Adama Coulibaly.
tad/kam
A l’atelier de clôture du projet DGDI, jeudi au plateau, la coordonnatrice a relevé qu’avec une dotation initiale de 6,5 milliards F CFA, un appui budgétaire de 5,17 milliards F CFA et un financement additionnel de 2,5 milliards F CFA, ce projet institué en 2008 et financé par la Banque mondiale a permis des reformes qui ont apporté des transformations quantitatives et qualitatives aux bénéficiaires, par l’amélioration de leur performance.
Le DGDI a apporté son appui à l’amélioration de la gestion des finances publiques, de la gestion du secteur pétrolier en amont, dans le secteur café-cacoa et pour l’amélioration de l’accès du public à l’information économique et financière.
Au terme de huit années d’exécution, le DGDI enregistre ainsi un taux d’engagement et de décaissement de 100% au niveau du financement IDA (Association internationale de développement) et de l’appui budgétaire. Quand au niveau du financement additionnel, on note un taux d’engagement de 100% pour un taux de décaissement de 84%.
Pour le chargé de projet de la Banque Mondiale, Robert Yungu, il y a une juste amélioration de la gouvernance en Côte d’Ivoire avec des avancées notables au niveau de la transparence économique.
Une deuxième phase du projet DGDI est en cours d’élaboration, avec une sollicitation d’autres partenaires pour le renforcement des fonds, notamment l'Agence française de développement (AFD), la Banque africaine de développement (BAD), a assuré le directeur de cabinet du ministère de l’Economie et des Finances, Adama Coulibaly.
tad/kam