Le Don de Gouvernance et de Développement Institutionnel (DGDI), en partenariat avec la Banque Mondiale a organisé, le jeudi 2 mars 2017, au Grand Hôtel du Plateau, un atelier consécutif à la fin officielle de ses activités. Cette rencontre visait à rendre compte des activités du DGDI à travers un bilan. Le directeur de cabinet du Ministre de l’Économie et des Finances, Adama Coulibaly, a indiqué qu’en s’imposant comme « une structure pérenne de mise en œuvre des réformes» le DGDI bénéfice de la confiance renouvelée du Ministre des Finances Adama Koné.
Le «projet DGDI a été mené avec succès », a-t-il renchéri, avant de s’engager à solliciter d’autres bailleurs de fonds en vue de renforcer le fonds d’appui aux réformes du gouvernement en ce sens que les chapitres sont complexes et nombreux.
La Coordonnatrice du DGDI, Madeleine Yao, pour qui son institution pense « avoir remplir sa mission » eu égard au quitus donnés par la Banque Mondiale a souligné que son apport à la bonne gouvernance a eu un impact qualitatif sur les clients et les bénéficiaires.
Disposant d’un budget de 13,5 milliards de francs CFA pour le financement des différentes activités et la mise en œuvre des réformes, La Coordonnatrice du DGDI, a rappelé que le DGDI a eu pour mission d’apporter un appui au gouvernement, pour la préparation et la mise en œuvre des réformes visant à renforcer la gouvernance dans les secteurs clés de l’Économie nationale.
Révélant, par ailleurs, que quatre composantes ont été prises en compte dans le cadre de cette mission, notamment les finances publiques, le secteur pétrolier, la filière café – cacao, et gestion du projet communication, Madeleine Yao a saisi l’occasion qui lui a été offerte pour traduire toute sa gratitude à ses partenaires techniques et financiers dont les actions ont concouru au à la réussite de la mission du DGDI.
Pour le directeur des Opérations de la Banque Mondiale pour la Côte d’Ivoire, Robert Yungu «C’est une grande satisfaction, au regard des actions menées par le DGDI. Les indicateurs de performances montrent que le projet a été très satisfaisant.
Il a atteint ses objectifs au niveau de la bonne gouvernance et au niveau du renforcement des capacités. Le DGDI, c’était une belle aventure », a-t-il déclaré, affirmant par la même occasion que des démarches sont initiées pour qu’elle ne s’arrête pas mais continue dans une phase 2 avec «de meilleures perspectives ».
Crée en 2008, et ayant pour tutelle le Ministère de l’Économie et des Finances, le DGDI traduit la volonté du Gouvernement d’assainir son cadre macro- économique, de respecter les standards internationaux en matière de gestion des ressources publiques et de créer des conditions favorables à une croissance économique.
Le «projet DGDI a été mené avec succès », a-t-il renchéri, avant de s’engager à solliciter d’autres bailleurs de fonds en vue de renforcer le fonds d’appui aux réformes du gouvernement en ce sens que les chapitres sont complexes et nombreux.
La Coordonnatrice du DGDI, Madeleine Yao, pour qui son institution pense « avoir remplir sa mission » eu égard au quitus donnés par la Banque Mondiale a souligné que son apport à la bonne gouvernance a eu un impact qualitatif sur les clients et les bénéficiaires.
Disposant d’un budget de 13,5 milliards de francs CFA pour le financement des différentes activités et la mise en œuvre des réformes, La Coordonnatrice du DGDI, a rappelé que le DGDI a eu pour mission d’apporter un appui au gouvernement, pour la préparation et la mise en œuvre des réformes visant à renforcer la gouvernance dans les secteurs clés de l’Économie nationale.
Révélant, par ailleurs, que quatre composantes ont été prises en compte dans le cadre de cette mission, notamment les finances publiques, le secteur pétrolier, la filière café – cacao, et gestion du projet communication, Madeleine Yao a saisi l’occasion qui lui a été offerte pour traduire toute sa gratitude à ses partenaires techniques et financiers dont les actions ont concouru au à la réussite de la mission du DGDI.
Pour le directeur des Opérations de la Banque Mondiale pour la Côte d’Ivoire, Robert Yungu «C’est une grande satisfaction, au regard des actions menées par le DGDI. Les indicateurs de performances montrent que le projet a été très satisfaisant.
Il a atteint ses objectifs au niveau de la bonne gouvernance et au niveau du renforcement des capacités. Le DGDI, c’était une belle aventure », a-t-il déclaré, affirmant par la même occasion que des démarches sont initiées pour qu’elle ne s’arrête pas mais continue dans une phase 2 avec «de meilleures perspectives ».
Crée en 2008, et ayant pour tutelle le Ministère de l’Économie et des Finances, le DGDI traduit la volonté du Gouvernement d’assainir son cadre macro- économique, de respecter les standards internationaux en matière de gestion des ressources publiques et de créer des conditions favorables à une croissance économique.