Abidjan – Le Secrétaire général des Nations Unies, António Guterres, affirmant que l’ONU ne devrait en aucun cas être associé à des actes criminels tels que les viols, la violence sexuelle, l’exploitation et les atteintes sexuelles, a présenté jeudi une nouvelle stratégie pour prévenir et répondre aux abus commis par des personnes servant sous le drapeau de l’ONU.
« De tels actes de barbarie ne devraient jamais se produire. Ils ne devraient surtout jamais pouvoir être associés à des individus qui servent sous le drapeau de l’ONU, en quelque qualité que ce soit », a déclaré M. Guterres dans un message annonçant son nouveau rapport sur la question.
« Affirmons-le d’une seule voix : nous ne tolérerons pas que quiconque commette ou cautionne des actes d’exploitation ou des atteintes sexuelles. Nous ne laisserons personne recouvrir ces crimes du drapeau bleu de l’ONU. Chacune des victimes mérite que justice soit faite. Chacune des victimes mérite notre soutien sans faille. Ensemble, tenons cette promesse », a-t-il ajouté.
Le rapport du Secrétaire général, ‘Dispositions spéciales visant à prévenir l’exploitation et les atteintes sexuelles : une nouvelle stratégie’, définit une approche axée sur les victimes, fondée sur la transparence, la responsabilité et la justice.
L’approche détaillée dans le rapport met l’accent sur les droits et la dignité des victimes, la fin de l’impunité pour les coupables de crimes et d’agressions, l’expérience et l’avis des victimes, de la société civile, des populations locales et d’autres acteurs concernés pour renforcer et améliorer les efforts de l’ONU, la sensibilisation et le partage des meilleures pratiques pour mettre fin à ce fléau.
Le rapport souligne également la nécessité de développer des contacts avec les États membres de l’ONU et appelle à une réunion de haut niveau sur l’exploitation et les atteintes sexuelles en 2017 en marge du débat général de la 72e session de l’Assemblée générale.
Le rapport note en outre que le chef de l’ONU s’efforcera d’obtenir un soutien des États membres pour établir un dépôt confidentiel d’informations sur les cas d’abus, consolidé à l’échelle du système et placé sous la supervision du Coordonnateur spécial pour l’amélioration de la réponse des Nations Unies à l’exploitation et aux atteintes sexuelles.
Il comprend également une liste détaillée des actions et des recommandations, de l’entité compétente des Nations Unies chargée de la consultation avec les parties prenantes concernées, et des données sur les allégations d’exploitation et d’atteintes sexuelles à travers le système des Nations Unies et par des forces d’organisations internationales non-ONU mandatées par le Conseil de sécurité, couvrant la période du 1er janvier au 31 décembre 2016.
kam
« De tels actes de barbarie ne devraient jamais se produire. Ils ne devraient surtout jamais pouvoir être associés à des individus qui servent sous le drapeau de l’ONU, en quelque qualité que ce soit », a déclaré M. Guterres dans un message annonçant son nouveau rapport sur la question.
« Affirmons-le d’une seule voix : nous ne tolérerons pas que quiconque commette ou cautionne des actes d’exploitation ou des atteintes sexuelles. Nous ne laisserons personne recouvrir ces crimes du drapeau bleu de l’ONU. Chacune des victimes mérite que justice soit faite. Chacune des victimes mérite notre soutien sans faille. Ensemble, tenons cette promesse », a-t-il ajouté.
Le rapport du Secrétaire général, ‘Dispositions spéciales visant à prévenir l’exploitation et les atteintes sexuelles : une nouvelle stratégie’, définit une approche axée sur les victimes, fondée sur la transparence, la responsabilité et la justice.
L’approche détaillée dans le rapport met l’accent sur les droits et la dignité des victimes, la fin de l’impunité pour les coupables de crimes et d’agressions, l’expérience et l’avis des victimes, de la société civile, des populations locales et d’autres acteurs concernés pour renforcer et améliorer les efforts de l’ONU, la sensibilisation et le partage des meilleures pratiques pour mettre fin à ce fléau.
Le rapport souligne également la nécessité de développer des contacts avec les États membres de l’ONU et appelle à une réunion de haut niveau sur l’exploitation et les atteintes sexuelles en 2017 en marge du débat général de la 72e session de l’Assemblée générale.
Le rapport note en outre que le chef de l’ONU s’efforcera d’obtenir un soutien des États membres pour établir un dépôt confidentiel d’informations sur les cas d’abus, consolidé à l’échelle du système et placé sous la supervision du Coordonnateur spécial pour l’amélioration de la réponse des Nations Unies à l’exploitation et aux atteintes sexuelles.
Il comprend également une liste détaillée des actions et des recommandations, de l’entité compétente des Nations Unies chargée de la consultation avec les parties prenantes concernées, et des données sur les allégations d’exploitation et d’atteintes sexuelles à travers le système des Nations Unies et par des forces d’organisations internationales non-ONU mandatées par le Conseil de sécurité, couvrant la période du 1er janvier au 31 décembre 2016.
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