L’Asec Mimosas a battu le dimanche 12 mars dernier au stade Robert Champroux de Marcory, en match aller de la coupe de la confédération africaine, l’Apejes de Mfou du Cameroun par le score de 2 buts à 0. Dans cet entretien, l’entraineur de l’équipe camerounaise, Sokhba Oumarou Hermann se prononce sur le match et annonce déjà ce qui attend l’Asec au match retour à Yaoundé.
Coach, vous avez perdu la première manche, 2 buts à 0, qu’est-ce qui n’a pas marché dans ce match ?
L’inexpérience de mes joueurs et le mauvais arbitrage. Quand on veut aider une équipe, honnêtement ce n’est pas de cette façon. L’arbitrage a été nul. L’Asec n’avait pas besoin du coup de pouce de l’arbitre. Ce mauvais arbitrage ne met pas en cause la victoire de notre adversaire. L’Asec nous a mis en difficulté sur certaines phases de jeu notamment les balles de contre. L’équipe ivoirienne va très vite. Elle a un joueur de fixation, Aristide Bancé.
Etes-vous satisfait de la production de vos joueurs ?
Collectivement, oui. Offensivement, nous avons été nuls, incapables de faire la différence devant les buts adverses. Il va falloir améliorer notre jeu offensif dans si nous voulons aller loin dans cette compétition. La défense de l’équipe ivoirienne est lourde mais nous ne l’avons pas mise en difficulté. La naïveté de mes attaquants a fait que nous n’avons pas pu trouver de solution ni individuelle, ni collective.
Quels étaient votre objectifs en venant à Abidjan affronter l’Asec Mimosas ?
C’était de ne pas perdre et si possible de marquer un but. L’arbitre a brisé nos ambitions en accordant un penalty imaginaire à l’Asec. Ce but de l’Asec sur penalty a handicapé mon équipe. L’arbitre a plié le match.
Pour le match retour, que comptez-vous faire pour corriger ces tares ?
Nous avons dominé dans la possession de balles. Nous allons continuer dans ce sens afin de nous créer des occasions de buts. Nous allons travailler en fonction des qualités et des faiblesses de l’Asec pour réaliser un résultat en notre faveur. A Yaoundé, ce sera difficile pour l’Asec. Nous allons mettre la pression sur notre adversaire jusqu’au coup de sifflet final. On n’attendra pas que l’Asec nous dicte sa loi. Au regard de ce que j’ai vu de l’Asec durant cette manche aller ici à Abidjan et de notre prestation, nous mettrons tout en œuvre pour éliminer l’Asec et nous qualifier.
Qu’entendez-vous par mettre tous les moyens à votre profit pour sortir l’Asec Mimosas ?
Par notre prestation sur le terrain. Nous allons réserver un enfer sportif à l’Asec. Ce sera sur l’aire de jeu. A Yaoundé, nos buts viendront soit des attaquants ou des défenseurs.
Dans ce match, quel est le joueur de l’Asec qui vous a impressionné ?
Incontestablement Aristide Bancé. Il garde bien le ballon quand son équipe est pressée pour permettre à ses coéquipiers de remonter. Mon équipe n’avait pas un joueur capable de s’illustrer dans ce registre. C’est un grand joueur. Cependant je note que l’Asec a une défense lourde qui a eu beaucoup de peine à terminer la rencontre.
On va continuer de rêver. L’Asec est l’une des grandes équipes du continent. Si elle nous sort au match retour, ce ne sera pas une honte. Les observateurs sportifs ont quelque peu été surpris de notre prestation. Nous existons, il y a moins de dix ans et c’est notre première participation à une compétition africaine des clubs. Le match retour sera compliqué mais la qualification est encore possible.
San Aubin
Coach, vous avez perdu la première manche, 2 buts à 0, qu’est-ce qui n’a pas marché dans ce match ?
L’inexpérience de mes joueurs et le mauvais arbitrage. Quand on veut aider une équipe, honnêtement ce n’est pas de cette façon. L’arbitrage a été nul. L’Asec n’avait pas besoin du coup de pouce de l’arbitre. Ce mauvais arbitrage ne met pas en cause la victoire de notre adversaire. L’Asec nous a mis en difficulté sur certaines phases de jeu notamment les balles de contre. L’équipe ivoirienne va très vite. Elle a un joueur de fixation, Aristide Bancé.
Etes-vous satisfait de la production de vos joueurs ?
Collectivement, oui. Offensivement, nous avons été nuls, incapables de faire la différence devant les buts adverses. Il va falloir améliorer notre jeu offensif dans si nous voulons aller loin dans cette compétition. La défense de l’équipe ivoirienne est lourde mais nous ne l’avons pas mise en difficulté. La naïveté de mes attaquants a fait que nous n’avons pas pu trouver de solution ni individuelle, ni collective.
Quels étaient votre objectifs en venant à Abidjan affronter l’Asec Mimosas ?
C’était de ne pas perdre et si possible de marquer un but. L’arbitre a brisé nos ambitions en accordant un penalty imaginaire à l’Asec. Ce but de l’Asec sur penalty a handicapé mon équipe. L’arbitre a plié le match.
Pour le match retour, que comptez-vous faire pour corriger ces tares ?
Nous avons dominé dans la possession de balles. Nous allons continuer dans ce sens afin de nous créer des occasions de buts. Nous allons travailler en fonction des qualités et des faiblesses de l’Asec pour réaliser un résultat en notre faveur. A Yaoundé, ce sera difficile pour l’Asec. Nous allons mettre la pression sur notre adversaire jusqu’au coup de sifflet final. On n’attendra pas que l’Asec nous dicte sa loi. Au regard de ce que j’ai vu de l’Asec durant cette manche aller ici à Abidjan et de notre prestation, nous mettrons tout en œuvre pour éliminer l’Asec et nous qualifier.
Qu’entendez-vous par mettre tous les moyens à votre profit pour sortir l’Asec Mimosas ?
Par notre prestation sur le terrain. Nous allons réserver un enfer sportif à l’Asec. Ce sera sur l’aire de jeu. A Yaoundé, nos buts viendront soit des attaquants ou des défenseurs.
Dans ce match, quel est le joueur de l’Asec qui vous a impressionné ?
Incontestablement Aristide Bancé. Il garde bien le ballon quand son équipe est pressée pour permettre à ses coéquipiers de remonter. Mon équipe n’avait pas un joueur capable de s’illustrer dans ce registre. C’est un grand joueur. Cependant je note que l’Asec a une défense lourde qui a eu beaucoup de peine à terminer la rencontre.
On va continuer de rêver. L’Asec est l’une des grandes équipes du continent. Si elle nous sort au match retour, ce ne sera pas une honte. Les observateurs sportifs ont quelque peu été surpris de notre prestation. Nous existons, il y a moins de dix ans et c’est notre première participation à une compétition africaine des clubs. Le match retour sera compliqué mais la qualification est encore possible.
San Aubin
