Le siège de l’Organisation internationale du Cacao (ICCO) transféré de Londres à Abidjan sera inauguré le 25 avril prochain, a annoncé lundi le Président de cette organisation en visite dans la capitale économique ivoirienne.
Cette du président de ce Conseil, Luis Valverde par ailleurs Vice-ministre de l’agriculture, de l’élevage et de la pêche de l’Equateur à Abidjan vise à «exprimer au gouvernement ivoirien la gratitude de l’ICCO, quant à la mise à disposition du bâtiment abritant les activités de l’institution, d’apprécier les conditions de travail du secrétariat ».
« Nous pensons que l’ICCO doit se trouver dans le pays où le cacao est produit. La Côte d’Ivoire entant que premier producteur est le mieux placé », a justifié le Président du Conseil international du Cacao après un entretien avec le ministre ivoirien du commerce, de l’artisanat et de la promotion des Petites et moyennes entreprises (PME), Souleymane Diarrassouba.
« C’est le retour à la maison. La Côte d’Ivoire étant le premier pays producteur. Il est bon que l’organisation qui fédère les consommateurs et les producteurs vienne dans un pays qui est le leader », s’est pour sa part réjoui le ministre Souleymane Diarrassouba qui a annoncé une rencontre de haut niveau en avril, des ministres en charge du cacao pour trouver des solutions durables pour que « les cours du cacao puissent aller à un meilleur niveau ».
Le Directeur Exécutif de l'Organisation Internationale du Cacao (ICCO) Jean-Marie Anga a soutenu à son tour, qu’avec ce transfert, les planteurs bénéficieront de l’expertise de cette institution à travers des programmes de formation.
Cette inauguration du siège interviendra durant la semaine des réunions du Conseil international du Cacao et de ses organes subsidiaires du 24 au 28 avril.
Créée sous l’égide des Nations Unies et implantée à Londres (Angleterre) depuis 1973, l’ICCO est constituée de 51 membres dont 21 exportateurs et 30 importateurs , travaillant en partenariat avec les représentants des secteurs privé et public tels que les industries, les agences de développement et la société civile. Elle a pour mission de réguler et d’améliorer le fonctionnement de la filière cacao dans le monde.
Cette du président de ce Conseil, Luis Valverde par ailleurs Vice-ministre de l’agriculture, de l’élevage et de la pêche de l’Equateur à Abidjan vise à «exprimer au gouvernement ivoirien la gratitude de l’ICCO, quant à la mise à disposition du bâtiment abritant les activités de l’institution, d’apprécier les conditions de travail du secrétariat ».
« Nous pensons que l’ICCO doit se trouver dans le pays où le cacao est produit. La Côte d’Ivoire entant que premier producteur est le mieux placé », a justifié le Président du Conseil international du Cacao après un entretien avec le ministre ivoirien du commerce, de l’artisanat et de la promotion des Petites et moyennes entreprises (PME), Souleymane Diarrassouba.
« C’est le retour à la maison. La Côte d’Ivoire étant le premier pays producteur. Il est bon que l’organisation qui fédère les consommateurs et les producteurs vienne dans un pays qui est le leader », s’est pour sa part réjoui le ministre Souleymane Diarrassouba qui a annoncé une rencontre de haut niveau en avril, des ministres en charge du cacao pour trouver des solutions durables pour que « les cours du cacao puissent aller à un meilleur niveau ».
Le Directeur Exécutif de l'Organisation Internationale du Cacao (ICCO) Jean-Marie Anga a soutenu à son tour, qu’avec ce transfert, les planteurs bénéficieront de l’expertise de cette institution à travers des programmes de formation.
Cette inauguration du siège interviendra durant la semaine des réunions du Conseil international du Cacao et de ses organes subsidiaires du 24 au 28 avril.
Créée sous l’égide des Nations Unies et implantée à Londres (Angleterre) depuis 1973, l’ICCO est constituée de 51 membres dont 21 exportateurs et 30 importateurs , travaillant en partenariat avec les représentants des secteurs privé et public tels que les industries, les agences de développement et la société civile. Elle a pour mission de réguler et d’améliorer le fonctionnement de la filière cacao dans le monde.