Gagnoa - Philippe-Henry Dakoury-Tabley, ex-gouverneur de la Banque centrale des Etats de l’Afrique de l’Ouest (BCEAO), a justifié son soutien aux festivités marquant le dixième anniversaire de l’Union des nouvelles générations (UNG, opposition), samedi à Gagnoa, par le fait qu’il est un homme de paix.
«Je ne suis membre d’aucun parti politique et je clarifie cela pour éviter toute amalgame », a d’emblée déclaré Philippe Dakoury-Tabley, invité spécial des festivités précisant être venu apporter son soutien à l’UNG en sa qualité de défenseur des droits des « opprimés », ligne que, selon lui, ce parti, membre de l’opposition, adopte et suit.
L’ex-gouverneur a relevé que l’UNG et lui ont des convergences de vue.
Bohui Paul-Arnaud, natif de Gagnoa et vice-président de l’UNG, s’est réjoui de l’honneur fait à son parti par l’ex-gouverneur qu’il a qualifié de personnalité « d’honneur et de discrétion ». Il a justifié le choix de Gagnoa comme lieu de célébration des dix ans de son parti, vu qu’il s'agit, selon lui, d’une « ville symbole », région natale de Laurent Gbagbo.
L’Union des nouvelles générations est dirigée, depuis juillet 2007, par Stéphane Kipré, en exil après la crise post-électorale.
(AIP)
Dd/kp
«Je ne suis membre d’aucun parti politique et je clarifie cela pour éviter toute amalgame », a d’emblée déclaré Philippe Dakoury-Tabley, invité spécial des festivités précisant être venu apporter son soutien à l’UNG en sa qualité de défenseur des droits des « opprimés », ligne que, selon lui, ce parti, membre de l’opposition, adopte et suit.
L’ex-gouverneur a relevé que l’UNG et lui ont des convergences de vue.
Bohui Paul-Arnaud, natif de Gagnoa et vice-président de l’UNG, s’est réjoui de l’honneur fait à son parti par l’ex-gouverneur qu’il a qualifié de personnalité « d’honneur et de discrétion ». Il a justifié le choix de Gagnoa comme lieu de célébration des dix ans de son parti, vu qu’il s'agit, selon lui, d’une « ville symbole », région natale de Laurent Gbagbo.
L’Union des nouvelles générations est dirigée, depuis juillet 2007, par Stéphane Kipré, en exil après la crise post-électorale.
(AIP)
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