Annoncés depuis quelques semaines, 117 autobus de marque Tata ont effectivement débarqué du gros porteur, Höegh Autoliners, ce mercredi 29 mars 2017, au Port d’Abidjan, nous apprend un confrère.
Selon les informations reçues, ces autobus sont sortis tout fraîchement de l’usine Tata motors de Lucknow (nord de l’Inde). Ces autobus, embarqués depuis le 23 février dernier, constituent la toute première vague des 500 bus de ce constructeur indien prévus renforcer le parc auto de la Société de transport abidjanais (Sotra).
Conduite par son directeur général, M. Méité Bouaké, une délégation de la Sotra a accueilli les autobus flambant neufs qui seront mis en exploitation dans les tout prochains jours.
GO
Encadré
Quand le régime Ouattara se moquait des bus Tata
On se souvient très bien des commentaires des journaux pro-Ouattara au temps où le président Gbagbo s’était adressé à l’Inde pour renforcer le parc auto de la Sotra. C’était des sarcasmes à n’en point finir. On accusait le président Gbagbo et le directeur de la Sotra à l’époque Atté Philippe de renflouer le parc auto de la société par des véhicules bon marché. Des véhicules, qui selon les thuriféraires du mentor du RDR étaient de mauvaise qualité et mettaient en danger la vie des usagers. Quelques années après, force est de constater que Laurent Gbagbo, une fois de plus, avait eu raison plus tôt que tous les autres, partisans inconditionnels de la Francafrique. Pour qui n’est de qualité que tout ce qui vient de la France ou d’un autre pays du même continent qui jouit d’un passé colonial avéré. Mais, la mondialisation a montré que le monde d’aujourd’hui est dominé économiquement par des pays autrefois voués aux gémonies tels que la Chine et l’Inde, deux géants économiques qui rivalisent aussi aujourd’hui et surpassent même les pays dits développés. Les hommes de Ouattara donnent enfin raison au président Gbagbo qui en tant que visionnaire avait compris qu’il était dans l’intérêt des pays africains de développer des partenariats sud-sud, dans la dignité et le respect des uns et des autres.
Ouattara, toute honte bue, a décidé d’emboiter le pas à Gbagbo en faisant ses emplettes dans un pays qui a un avenir prometteur. Selon tous les rapports de la Banque mondiale et du Fonds monétaire international, l’Inde sera la première puissance économique d’ici environ 50 ans. Le sous continent indien est déjà un des leaders mondiaux en matière de nouvelles technologies et de produits pharmaceutiques. Ce pays produit d’éminents scientifiques de renommée internationale et est devenu par la force du travail de ses habitants, un pays qui compte dans le concert des grandes nations. Laurent Gbagbo avait compris que la Côte d’Ivoire avait tout à gagner en travaillant avec ces pays dits émergents. Sept (7) ans après, nous espérons que Ouattara aura compris que continuer dans des partenariats aliénants est quelque chose de dépassé et avilissant.
GO
Selon les informations reçues, ces autobus sont sortis tout fraîchement de l’usine Tata motors de Lucknow (nord de l’Inde). Ces autobus, embarqués depuis le 23 février dernier, constituent la toute première vague des 500 bus de ce constructeur indien prévus renforcer le parc auto de la Société de transport abidjanais (Sotra).
Conduite par son directeur général, M. Méité Bouaké, une délégation de la Sotra a accueilli les autobus flambant neufs qui seront mis en exploitation dans les tout prochains jours.
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Quand le régime Ouattara se moquait des bus Tata
On se souvient très bien des commentaires des journaux pro-Ouattara au temps où le président Gbagbo s’était adressé à l’Inde pour renforcer le parc auto de la Sotra. C’était des sarcasmes à n’en point finir. On accusait le président Gbagbo et le directeur de la Sotra à l’époque Atté Philippe de renflouer le parc auto de la société par des véhicules bon marché. Des véhicules, qui selon les thuriféraires du mentor du RDR étaient de mauvaise qualité et mettaient en danger la vie des usagers. Quelques années après, force est de constater que Laurent Gbagbo, une fois de plus, avait eu raison plus tôt que tous les autres, partisans inconditionnels de la Francafrique. Pour qui n’est de qualité que tout ce qui vient de la France ou d’un autre pays du même continent qui jouit d’un passé colonial avéré. Mais, la mondialisation a montré que le monde d’aujourd’hui est dominé économiquement par des pays autrefois voués aux gémonies tels que la Chine et l’Inde, deux géants économiques qui rivalisent aussi aujourd’hui et surpassent même les pays dits développés. Les hommes de Ouattara donnent enfin raison au président Gbagbo qui en tant que visionnaire avait compris qu’il était dans l’intérêt des pays africains de développer des partenariats sud-sud, dans la dignité et le respect des uns et des autres.
Ouattara, toute honte bue, a décidé d’emboiter le pas à Gbagbo en faisant ses emplettes dans un pays qui a un avenir prometteur. Selon tous les rapports de la Banque mondiale et du Fonds monétaire international, l’Inde sera la première puissance économique d’ici environ 50 ans. Le sous continent indien est déjà un des leaders mondiaux en matière de nouvelles technologies et de produits pharmaceutiques. Ce pays produit d’éminents scientifiques de renommée internationale et est devenu par la force du travail de ses habitants, un pays qui compte dans le concert des grandes nations. Laurent Gbagbo avait compris que la Côte d’Ivoire avait tout à gagner en travaillant avec ces pays dits émergents. Sept (7) ans après, nous espérons que Ouattara aura compris que continuer dans des partenariats aliénants est quelque chose de dépassé et avilissant.
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