Sur l’agenda de la 3ème Conférence annuelle du WACREN qui se tient à Abidjan, du 27 au 31 mars 2017, avec la collaboration du Ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, à travers l’Université Virtuelle de Côte d’Ivoire(UVCI), figure en bonne place la réunion du Projet AfricaConnect2.
En effet, le mardi 28 mars à Azalaï Hôtel à Abidjan-Marcory, les responsables et acteurs de cet important projet ont échangé sur les difficultés et autres contraintes, mais surtout sur les voies et moyens pour rendre plus opérationnel cet instrument de mutualisation des capacités.
A cette occasion, le Directeur Général du Réseau Régional d’Education et de Recherche de l’Afrique de l’Ouest et du Centre(WACREN), M. BARRY Boubacar a expliqué que le projet AfricaConnect 2 qui est à sa deuxième phase, a connu une première qui a débuté en 2011 et pris fin en 2015. « AfricaConnect2 a débuté en 2015 et vise à aider à interconnecter les réseaux nationaux d’éducation et de recherche des pays de la sous-région. L’importance de ces réseaux nationaux se situe dans le fait qu’ils permettent de créer une plateforme d’échanges et de collaboration entre les universités, les instituts et centres de recherche, par leur interconnexion à haut débit », a-t-il ajouté. Ainsi, les enseignants, étudiants et chercheurs pourront accéder à des ressources scientifiques et pédagogiques disponibles sur internet et améliorer ainsi leurs travaux. Toute chose de nature à augmenter le niveau de la qualité de l’enseignement et de la recherche en Afrique de l’Ouest et du Centre et contribuant ainsi au développement des pays de cette espace.
Pour MANUELLA Béton Abram, Responsable marketing pour le projet AfricaConnect2, c’est un projet panafricain pour interconnecter les universités et centres de recherche de l’Afrique de l’ouest et du centre entre elles, et les interconnecter au réseau d’éducation et de recherche européen(GEANT). GEANT est le réseau qui met en toile toutes les universités et centres de recherche européens, un réseau très opérationnel qui soutient l’opérationnalisation du projet AfricaConnect2. « La Recherche étant mondiale, pour trouver des solutions durables aux maux qui minent le monde, les chercheurs sont obligés de travailler en collaboration », a-t-elle fait remarquer.
Quant à Stéphanie TRUILLE-BAURENS, Chargé de programme à la commission européenne, Direction générale pour le développent basée à Bruxelles, et Sabine JAUME du réseau RENATER, elles soutiennent que AfricaConnect permet aux pays d’Afrique de l’ouest et centre d’accéder à un service internet de haute qualité et favorisant des échanges de données, des cours à distance, ouvrant ainsi une fenêtre pour les universités et centres de recherche sur le reste du monde.
Par ailleurs, une réunion des réseaux nationaux d’éducation et de recherche a fait l’état des lieux de chaque réseau, identifié les obstacles et difficultés et préconisé des pistes de solutions quant au modèle économique à adopter, ainsi que le mode fonctionnement à envisager, afin de les rendre plus autonomes et davantage viables. Le réseau ivoirien de télécommunication pour l’éducation et la recherche(RITER) a été cité comme un bon exemple, avec l’interconnexion des universités et grandes écoles publiques et centres de recherche ivoiriens, mais surtout avec la création de l’Université Virtuelle de Côte d’Ivoire(UVCI).
En effet, le mardi 28 mars à Azalaï Hôtel à Abidjan-Marcory, les responsables et acteurs de cet important projet ont échangé sur les difficultés et autres contraintes, mais surtout sur les voies et moyens pour rendre plus opérationnel cet instrument de mutualisation des capacités.
A cette occasion, le Directeur Général du Réseau Régional d’Education et de Recherche de l’Afrique de l’Ouest et du Centre(WACREN), M. BARRY Boubacar a expliqué que le projet AfricaConnect 2 qui est à sa deuxième phase, a connu une première qui a débuté en 2011 et pris fin en 2015. « AfricaConnect2 a débuté en 2015 et vise à aider à interconnecter les réseaux nationaux d’éducation et de recherche des pays de la sous-région. L’importance de ces réseaux nationaux se situe dans le fait qu’ils permettent de créer une plateforme d’échanges et de collaboration entre les universités, les instituts et centres de recherche, par leur interconnexion à haut débit », a-t-il ajouté. Ainsi, les enseignants, étudiants et chercheurs pourront accéder à des ressources scientifiques et pédagogiques disponibles sur internet et améliorer ainsi leurs travaux. Toute chose de nature à augmenter le niveau de la qualité de l’enseignement et de la recherche en Afrique de l’Ouest et du Centre et contribuant ainsi au développement des pays de cette espace.
Pour MANUELLA Béton Abram, Responsable marketing pour le projet AfricaConnect2, c’est un projet panafricain pour interconnecter les universités et centres de recherche de l’Afrique de l’ouest et du centre entre elles, et les interconnecter au réseau d’éducation et de recherche européen(GEANT). GEANT est le réseau qui met en toile toutes les universités et centres de recherche européens, un réseau très opérationnel qui soutient l’opérationnalisation du projet AfricaConnect2. « La Recherche étant mondiale, pour trouver des solutions durables aux maux qui minent le monde, les chercheurs sont obligés de travailler en collaboration », a-t-elle fait remarquer.
Quant à Stéphanie TRUILLE-BAURENS, Chargé de programme à la commission européenne, Direction générale pour le développent basée à Bruxelles, et Sabine JAUME du réseau RENATER, elles soutiennent que AfricaConnect permet aux pays d’Afrique de l’ouest et centre d’accéder à un service internet de haute qualité et favorisant des échanges de données, des cours à distance, ouvrant ainsi une fenêtre pour les universités et centres de recherche sur le reste du monde.
Par ailleurs, une réunion des réseaux nationaux d’éducation et de recherche a fait l’état des lieux de chaque réseau, identifié les obstacles et difficultés et préconisé des pistes de solutions quant au modèle économique à adopter, ainsi que le mode fonctionnement à envisager, afin de les rendre plus autonomes et davantage viables. Le réseau ivoirien de télécommunication pour l’éducation et la recherche(RITER) a été cité comme un bon exemple, avec l’interconnexion des universités et grandes écoles publiques et centres de recherche ivoiriens, mais surtout avec la création de l’Université Virtuelle de Côte d’Ivoire(UVCI).
