Au terme d’une année de gestion des données agricoles et surtout d’informer le Gouvernement des résultats obtenus pour des prises de décisions adéquates, le Ministère de l’Agriculture et du Développement Rural (MINADER) a organisé le vendredi 31 mars à Grand Bassam, un séminaire bilan avec l’ensemble des structures intervenant dans ledit secteur.
Il s’agit essentiellement pour le MINADER de faire le bilan de l’exercice 2016 du secteur agricole et de décliner les perspectives de 2017.
La cérémonie d’ouverture de cet atelier qui a eu le mérite de réunir environ trois cent personnes, a été présidée par le Ministre l’Agriculture et du Développement Rural, M. Sangafowa Coulibaly qui a salué la présence des partenaires techniques et financiers, tels que la BAD, FAO, BOAD, Banque Mondiale, FIDA, L’UE,…
En se souvenant de l’esprit de la création du PNIA (Programme national d’investissement agricole) par la volonté commune de plusieurs chefs d’Etats Africains, le Ministre Sangafowa a insisté pour inviter les Etats Africains à consacrer une part plus importante de leur budget au secteur agricole.
A l’image du taux de 80% de mobilisation des ressources pour le PNIA dont 60% devrait être réalisé par le secteur privé, mais qui n’a pas été le cas. Toutefois, cette croissance agricole a pu se faire grâce au concours des partenaires techniques et financiers.
« Si notre pays a obtenu de tels résultats, nous le devons aux partenaires techniques et financiers » s’est-il réjoui.
Le patron de l’agriculture en Côte d’Ivoire, a aussi mis l’accent sur l’importance d’un leadership africain pour poser et résoudre de façon durable les problèmes du secteur agricole, car les gros producteurs peuvent influer sur les cours mondiaux.
Par ailleurs, M. Coulibaly Sangafowa face au phénomène de l’immigration irrégulière qui touche la jeunesse africaine, a indiqué que l’agriculture qui est secteur pourvoyeur d’emploi, est sans conteste la voie pour maintenir ces jeunes dans les pays africains.
En outre, en amont, le DG de La Direction générale de la planification, des statistiques et des projets (DGPSP), cheville ouvrière de l’organisation de cet atelier, a pris le relais, a fait deux présentations principales. M. Nouhoun Coulibaly a exposé notamment sur la synthèse des résultats du secteur agricole de l’exercice 2016 et la méthodologie d’élaboration de la deuxième phase du PNIA.
Il a par ailleurs donné comme tendance, 11,2% de taux d’accroissement des productions de rente réalisé de 2011 à 2016. Egalement 38,5% de croissance des productions vivrières de 2011 à 2016, une hausse sur toutes les spéculations.
Le DG de la DGPSP a aussi annoncé 1 797 096 emplois créés par le PNIA depuis 2012, pour cela il encourage à juste titre le financement de centres de formation agricole.
Il s’agit essentiellement pour le MINADER de faire le bilan de l’exercice 2016 du secteur agricole et de décliner les perspectives de 2017.
La cérémonie d’ouverture de cet atelier qui a eu le mérite de réunir environ trois cent personnes, a été présidée par le Ministre l’Agriculture et du Développement Rural, M. Sangafowa Coulibaly qui a salué la présence des partenaires techniques et financiers, tels que la BAD, FAO, BOAD, Banque Mondiale, FIDA, L’UE,…
En se souvenant de l’esprit de la création du PNIA (Programme national d’investissement agricole) par la volonté commune de plusieurs chefs d’Etats Africains, le Ministre Sangafowa a insisté pour inviter les Etats Africains à consacrer une part plus importante de leur budget au secteur agricole.
A l’image du taux de 80% de mobilisation des ressources pour le PNIA dont 60% devrait être réalisé par le secteur privé, mais qui n’a pas été le cas. Toutefois, cette croissance agricole a pu se faire grâce au concours des partenaires techniques et financiers.
« Si notre pays a obtenu de tels résultats, nous le devons aux partenaires techniques et financiers » s’est-il réjoui.
Le patron de l’agriculture en Côte d’Ivoire, a aussi mis l’accent sur l’importance d’un leadership africain pour poser et résoudre de façon durable les problèmes du secteur agricole, car les gros producteurs peuvent influer sur les cours mondiaux.
Par ailleurs, M. Coulibaly Sangafowa face au phénomène de l’immigration irrégulière qui touche la jeunesse africaine, a indiqué que l’agriculture qui est secteur pourvoyeur d’emploi, est sans conteste la voie pour maintenir ces jeunes dans les pays africains.
En outre, en amont, le DG de La Direction générale de la planification, des statistiques et des projets (DGPSP), cheville ouvrière de l’organisation de cet atelier, a pris le relais, a fait deux présentations principales. M. Nouhoun Coulibaly a exposé notamment sur la synthèse des résultats du secteur agricole de l’exercice 2016 et la méthodologie d’élaboration de la deuxième phase du PNIA.
Il a par ailleurs donné comme tendance, 11,2% de taux d’accroissement des productions de rente réalisé de 2011 à 2016. Egalement 38,5% de croissance des productions vivrières de 2011 à 2016, une hausse sur toutes les spéculations.
Le DG de la DGPSP a aussi annoncé 1 797 096 emplois créés par le PNIA depuis 2012, pour cela il encourage à juste titre le financement de centres de formation agricole.