Le ministre togolais de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, Octave Nicoué Broohm, a ouvert, jeudi, à Abidjan, la 3ème conférence annuelle du Réseau d’éducation et de recherche de l’Afrique de l’Ouest et du Centre (WACREN) consacrée à l’arrimage des universités de la région de l’Afrique de l’Ouest et du Centre au projet Africaconnect 2.
Autour du thème « Catalyser un enseignement supérieur et une recherche de qualité », les participants des Etats membres, leurs collègues des réseaux d’Afrique du Nord et de l’Est, d’Amérique, d’Europe et d’Asie tenteront de trouver une solution à la contribution financière des adhérents pour renforcer leur collaboration entre les réseaux nationaux et le réseau mondial Africaconnect 2 dans le cadre du développement du virtuel dans l’enseignement supérieur.
Africaconnect 2 construit des réseaux internet à haut débit interconnectés au réseau européen GEANT afin de soutenir l’éducation et la recherche en Afrique et à l’international, permettant aux étudiants, universitaires et chercheurs africains de collaborer avec leurs pairs du monde entier tout en contribuant à l’enrichissement du fonds documentaire de cette plateforme.
Selon le président de l’université virtuelle de Côte d’Ivoire, le Pr Koné Tiémoman, coordinateur du Réseau ivoirien des télécommunications pour l’enseignement et la recherche (RITER), « cette initiative ne réussira que s’il est adopté comme un élément stratégique de développement de l’enseignement supérieur » dans un contexte de massification des effectifs.
Pour le secrétaire général de l’Association des universités africaines (AUA), le Pr Etienne Ehouan Ehilé, cette conférence doit marquer « une étape importante et majeure pour la concrétisation de tous les efforts consentis pour que l’enseignement supérieur soit effectivement le catalyseur du développement des pays africains ».
Face aux préoccupations soulevées par la plupart des intervenants à la cérémonie d’ouverture, le secrétaire exécutif de l’Assemblée des régulateurs de télécommunications de l’Afrique de l’ouest (ARTAO), El Hadj Maman Laminon, a rassuré sur les infrastructures d’interconnexion et les dispositions réglementaires qui existent, mais méconnues, notamment pour le financement de la recherche et une telle initiative.
Représentant son homologue ivoirien, le Pr Bakayoko-Ly Ramata, le ministre togolais, Octave Nicoué Brooh, a souhaité que des solutions innovantes soient trouvées à la réalisation de cette « extraordinaire » opportunité. « Nous sommes persuadés que c’est un outil incontournable dans l’atteinte de nos objectifs (…) d’une belle communauté et d’un bel exemple de coopération », a-t-il dit.
Ce projet bénéficie de l’appui de plusieurs partenaires, notamment la CEDEAO, l’Union africaine, l’Union européenne et des sponsors du secteur des télécommunications.
aaa/kp
Autour du thème « Catalyser un enseignement supérieur et une recherche de qualité », les participants des Etats membres, leurs collègues des réseaux d’Afrique du Nord et de l’Est, d’Amérique, d’Europe et d’Asie tenteront de trouver une solution à la contribution financière des adhérents pour renforcer leur collaboration entre les réseaux nationaux et le réseau mondial Africaconnect 2 dans le cadre du développement du virtuel dans l’enseignement supérieur.
Africaconnect 2 construit des réseaux internet à haut débit interconnectés au réseau européen GEANT afin de soutenir l’éducation et la recherche en Afrique et à l’international, permettant aux étudiants, universitaires et chercheurs africains de collaborer avec leurs pairs du monde entier tout en contribuant à l’enrichissement du fonds documentaire de cette plateforme.
Selon le président de l’université virtuelle de Côte d’Ivoire, le Pr Koné Tiémoman, coordinateur du Réseau ivoirien des télécommunications pour l’enseignement et la recherche (RITER), « cette initiative ne réussira que s’il est adopté comme un élément stratégique de développement de l’enseignement supérieur » dans un contexte de massification des effectifs.
Pour le secrétaire général de l’Association des universités africaines (AUA), le Pr Etienne Ehouan Ehilé, cette conférence doit marquer « une étape importante et majeure pour la concrétisation de tous les efforts consentis pour que l’enseignement supérieur soit effectivement le catalyseur du développement des pays africains ».
Face aux préoccupations soulevées par la plupart des intervenants à la cérémonie d’ouverture, le secrétaire exécutif de l’Assemblée des régulateurs de télécommunications de l’Afrique de l’ouest (ARTAO), El Hadj Maman Laminon, a rassuré sur les infrastructures d’interconnexion et les dispositions réglementaires qui existent, mais méconnues, notamment pour le financement de la recherche et une telle initiative.
Représentant son homologue ivoirien, le Pr Bakayoko-Ly Ramata, le ministre togolais, Octave Nicoué Brooh, a souhaité que des solutions innovantes soient trouvées à la réalisation de cette « extraordinaire » opportunité. « Nous sommes persuadés que c’est un outil incontournable dans l’atteinte de nos objectifs (…) d’une belle communauté et d’un bel exemple de coopération », a-t-il dit.
Ce projet bénéficie de l’appui de plusieurs partenaires, notamment la CEDEAO, l’Union africaine, l’Union européenne et des sponsors du secteur des télécommunications.
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