Les travaux de la grande messe du capital investissement et capital-risque démarre aujourd’hui à Abidjan et, ce jusqu’au 5 avril prochain, avec la participation effective du Vice-Président de la République, S.E.M Daniel Kablan Duncan.
Objectif, motiver les entreprises à recourir à ce mode de financement
« Le capital investissement (ou private equity) est un moteur du développement et un facteur de créations d’emplois durables » ! Tel est le principal message que la 14ème Conférence annuelle de l’Association africaine du capital investissement et du capital risque (AVCA) qui se tient à Abidjan du 3 au 5 avril 2014, entend passer aux agents économiques du continent en général, et singulièrement à ceux d’Afrique subsaharienne francophone. Et pour cause, les données relatives aux opérations de private equity réalisées en Afrique entre 2010 et le premier semestre 2016, tendent à montrer que les pays de l’Uemoa et leurs homologues de la Cemac, ne capitalisent pas l’enthousiasme actuel des Fonds de capital investissement à investir en Afrique. Pourtant, explique Michel Abrogoua, fondateur de PCM Capital Partners et pionnier du private equity en Afrique subsaharienne francophone, « l’investissement lié au private equity est un moyen efficace de renforcer les économies africaines, créer des emplois, stimuler la croissance et dynamiser le développement ».
Ainsi, donc, cette 14ème édition de sa Conférence en terre ivoirienne, -qui signe le retour de cette grand’messe du capital investissement dans l’espace francophone du continent après une décennie-, vise à permettre à l’AVCA « de mieux faire connaitre aux agents économiques d’Afrique, particulièrement ceux des pays de l’Ouest et du Centre qui ont en partage la langue française, la source novatrice et prometteuse de financement que constituent pour eux les investissements liés au private equity ». Le but de l’exercice étant de les amener à recourir avec un peu plus de régularité à cet outil pour financer leurs investissements. Car, précise Michel Abrogoua « en plus des capitaux non générateur d’endettement qu’ils apportent directement à l’entreprise, les fonds de private equity lui font bénéficier de leur savoir-faire et leur expertises, pour élever leurs pratiques managériales, mais aussi et surtout croître ».
Face à l’engouement des fonds de capital investissement à investir fortement en Afrique, l’enjeu pour les entreprises, les marchés financiers et les Etats du continent, -embarqués pour la plupart dans des programmes de développement visant à les faire entrer dans la catégories des économies émergentes-, est tirer le meilleur parti qui puisse être des belles opportunités de financement que charrie cet intérêt. A cet effet, durant les trois jours que vont durer les travaux de la 14ème conférence annuelle de l’AVCA, les investisseurs en capital-investissement et en capital-risque présents seront exposés aux perspectives d’investissement sur les marchés à travers le continent. Des perspectives qui selon Michel Abrogoua, sont « globalement bonnes en ce qui concerne l’espace Uemoa, avec des prévisions de croissance à moyen terme de 6% à 6,5% et de nombreux projets d’investissements ».
Objectif, motiver les entreprises à recourir à ce mode de financement
« Le capital investissement (ou private equity) est un moteur du développement et un facteur de créations d’emplois durables » ! Tel est le principal message que la 14ème Conférence annuelle de l’Association africaine du capital investissement et du capital risque (AVCA) qui se tient à Abidjan du 3 au 5 avril 2014, entend passer aux agents économiques du continent en général, et singulièrement à ceux d’Afrique subsaharienne francophone. Et pour cause, les données relatives aux opérations de private equity réalisées en Afrique entre 2010 et le premier semestre 2016, tendent à montrer que les pays de l’Uemoa et leurs homologues de la Cemac, ne capitalisent pas l’enthousiasme actuel des Fonds de capital investissement à investir en Afrique. Pourtant, explique Michel Abrogoua, fondateur de PCM Capital Partners et pionnier du private equity en Afrique subsaharienne francophone, « l’investissement lié au private equity est un moyen efficace de renforcer les économies africaines, créer des emplois, stimuler la croissance et dynamiser le développement ».
Ainsi, donc, cette 14ème édition de sa Conférence en terre ivoirienne, -qui signe le retour de cette grand’messe du capital investissement dans l’espace francophone du continent après une décennie-, vise à permettre à l’AVCA « de mieux faire connaitre aux agents économiques d’Afrique, particulièrement ceux des pays de l’Ouest et du Centre qui ont en partage la langue française, la source novatrice et prometteuse de financement que constituent pour eux les investissements liés au private equity ». Le but de l’exercice étant de les amener à recourir avec un peu plus de régularité à cet outil pour financer leurs investissements. Car, précise Michel Abrogoua « en plus des capitaux non générateur d’endettement qu’ils apportent directement à l’entreprise, les fonds de private equity lui font bénéficier de leur savoir-faire et leur expertises, pour élever leurs pratiques managériales, mais aussi et surtout croître ».
Face à l’engouement des fonds de capital investissement à investir fortement en Afrique, l’enjeu pour les entreprises, les marchés financiers et les Etats du continent, -embarqués pour la plupart dans des programmes de développement visant à les faire entrer dans la catégories des économies émergentes-, est tirer le meilleur parti qui puisse être des belles opportunités de financement que charrie cet intérêt. A cet effet, durant les trois jours que vont durer les travaux de la 14ème conférence annuelle de l’AVCA, les investisseurs en capital-investissement et en capital-risque présents seront exposés aux perspectives d’investissement sur les marchés à travers le continent. Des perspectives qui selon Michel Abrogoua, sont « globalement bonnes en ce qui concerne l’espace Uemoa, avec des prévisions de croissance à moyen terme de 6% à 6,5% et de nombreux projets d’investissements ».