Une rencontre a eu lieu entre le gouvernement et une délégation du FMI en mission à Abidjan du 27 Mars au 06 Avril dans le cadre de la première revue du programme triennal économique et financier de la Côte d’Ivoire appuyé par l’institution.
La diminution des revenus d’exportation du cacao a impacté la recette budgétaire. Le pays sollicite une rallonge supplémentaire du Fonds Monétaire International (FMI) pour le budget 2017 , trois mois après l’octroi de 658 millions de dollars.
« Les discussions ont été très fructueuses et ont permis aux autorités et au FMI de conclure un accord sous réserve de son approbation par la direction du FMI et le conseil d’administration en Juin » a annoncé Dan Guhra chef de la délégation du FMI au terme d’une séance avec le Vice-président, le premier ministre et le ministre du Budget et du portefeuille de l’Etat.
« La chute des cours mondiaux du cacao a diminué les recettes budgétaires. Le programme répond au choc négatif de façon à ce que l’économie s’ajuste et puisse maintenir une croissance forte, inclusive et soutenable. Et que la stabilité macroéconomique soit préservée. Le programme prévoit une augmentation modérée du déficit budgétaire à un niveau de 4,5% du PIB en 2017 et une convergence à la norme de l’UEMOA de 3% du PIB en 2019 » a fait savoir Dan Guhra.
Toutefois l’institution financière note « de bonnes performances » réalisées en 2016 dans le cadre du programme de financement du Plan national de développement 2016-2020 appuyé par l’institution. « La croissance économique est estimée à environ 8% en 2016, l’inflation contenue autour de 1%, les perspectives économiques restent bonnes pour 2017 avec une croissance forte et soutenue» a conclu le représentant du FMI.
Salimatou DIA
La diminution des revenus d’exportation du cacao a impacté la recette budgétaire. Le pays sollicite une rallonge supplémentaire du Fonds Monétaire International (FMI) pour le budget 2017 , trois mois après l’octroi de 658 millions de dollars.
« Les discussions ont été très fructueuses et ont permis aux autorités et au FMI de conclure un accord sous réserve de son approbation par la direction du FMI et le conseil d’administration en Juin » a annoncé Dan Guhra chef de la délégation du FMI au terme d’une séance avec le Vice-président, le premier ministre et le ministre du Budget et du portefeuille de l’Etat.
« La chute des cours mondiaux du cacao a diminué les recettes budgétaires. Le programme répond au choc négatif de façon à ce que l’économie s’ajuste et puisse maintenir une croissance forte, inclusive et soutenable. Et que la stabilité macroéconomique soit préservée. Le programme prévoit une augmentation modérée du déficit budgétaire à un niveau de 4,5% du PIB en 2017 et une convergence à la norme de l’UEMOA de 3% du PIB en 2019 » a fait savoir Dan Guhra.
Toutefois l’institution financière note « de bonnes performances » réalisées en 2016 dans le cadre du programme de financement du Plan national de développement 2016-2020 appuyé par l’institution. « La croissance économique est estimée à environ 8% en 2016, l’inflation contenue autour de 1%, les perspectives économiques restent bonnes pour 2017 avec une croissance forte et soutenue» a conclu le représentant du FMI.
Salimatou DIA