Mi-janvier, Daniel Kablan Duncan quittait la primature pour la vice-présidence, un poste aux contours flous. A-t-il accepté, en fidèle compagnon du chef de l'État ivoirien, Alassane Ouattara, une retraite dorée aux pouvoirs limités ? Ou compte-t-il, en fin stratège, peser au sommet de l’État, voire en prendre un jour la tête ?
L’aile est du palais présidentiel abidjanais est encore en chantier. À la hâte, il faut faire déménager certains collaborateurs, hisser des murs. Dans ces couloirs au cœur du pouvoir, tout est à remodeler. C’est là, au premier étage et à seulement quelques mètres du bureau du président Alassane Dramane Ouattara (ADO) que doit s’installer Daniel Kablan Duncan (DKD).
Deux mois après sa nomination au poste de... suite de l'article sur Jeune Afrique
L’aile est du palais présidentiel abidjanais est encore en chantier. À la hâte, il faut faire déménager certains collaborateurs, hisser des murs. Dans ces couloirs au cœur du pouvoir, tout est à remodeler. C’est là, au premier étage et à seulement quelques mètres du bureau du président Alassane Dramane Ouattara (ADO) que doit s’installer Daniel Kablan Duncan (DKD).
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