Bouaké - Des officiers de police judiciaire et des représentants d’organisations de la société civile bénéficient depuis mardi, et ce jusqu’à vendredi, à Bouaké, d’un renforcement de capacités sur les mécanismes et instruments internationaux destinés à la protection des défenseurs des droits humains.
Initié par la clinique juridique locale, l’atelier a pour objectif d’aider ces acteurs à mieux connaître les mécanismes et instruments internationaux, notamment la Déclaration universelle des droits de l’homme, la Charte africaine des droits de l’homme et des peuples, la Convention sur les droits des défenseurs des droits de l’homme adoptée en 1998 et ratifiée par la Côte d’Ivoire.
La Convention sur les droits des défenseurs des droits de l’homme de 1998 a servi de référence à loi ivoirienne de 2014 relative à la défense des droits des défenseurs des droits humains, a-t-on signalé.
Les bénéficiaires de cette loi et les officiers de police judiciaire ont déjà paris part, en décembre 2016 et en mars 2017, à des sessions de formation dans le cadre du projet de protection et de promotion des droits des défenseurs des droits humains.
Le sous-préfet central de Bouaké, Samassi Ismaël, et la directrice de la clinique juridique, Vanié Adjo Marie-Corine, ont souhaité que cet atelier ne soit pas de trop, mais une occasion pour les bénéficiaires de prendre davantage conscience pour la mise en œuvre des mécanismes et instruments visés.
Pour la première journée de l’atelier, les participants ont été instruits sur la défense et la protection des droits des personnes vulnérables.
(AIP)
Nbf/kp
Initié par la clinique juridique locale, l’atelier a pour objectif d’aider ces acteurs à mieux connaître les mécanismes et instruments internationaux, notamment la Déclaration universelle des droits de l’homme, la Charte africaine des droits de l’homme et des peuples, la Convention sur les droits des défenseurs des droits de l’homme adoptée en 1998 et ratifiée par la Côte d’Ivoire.
La Convention sur les droits des défenseurs des droits de l’homme de 1998 a servi de référence à loi ivoirienne de 2014 relative à la défense des droits des défenseurs des droits humains, a-t-on signalé.
Les bénéficiaires de cette loi et les officiers de police judiciaire ont déjà paris part, en décembre 2016 et en mars 2017, à des sessions de formation dans le cadre du projet de protection et de promotion des droits des défenseurs des droits humains.
Le sous-préfet central de Bouaké, Samassi Ismaël, et la directrice de la clinique juridique, Vanié Adjo Marie-Corine, ont souhaité que cet atelier ne soit pas de trop, mais une occasion pour les bénéficiaires de prendre davantage conscience pour la mise en œuvre des mécanismes et instruments visés.
Pour la première journée de l’atelier, les participants ont été instruits sur la défense et la protection des droits des personnes vulnérables.
(AIP)
Nbf/kp