Le Réseau des acteurs des médias pour les droits des enfants en Côte d’Ivoire (Ramede-ci) annonce une avancée au sujet de l’image des enfants dans les médias. Ce, à l’occasion de sa rencontre trimestrielle organisée en partenariat avec UNICEF Côte d’Ivoire ce 11 avril 2017 à Abidjan.
La transgression des droits des enfants par les médias recule en Côte d’Ivoire. L’information est livrée ce 11 avril 2017 par le Réseau des acteurs des médias pour les droits des enfants en Côte d’Ivoire (Ramedeci). « Nous notons avec beaucoup de satisfaction des évolutions. D’abord au niveau de la thématique, ensuite l’évolution au niveau du traitement médiatique. Les sujets de l’enfance étaient traités en faits divers. Aujourd’hui nous notons une spécialisation des journalistes sur la question de l’enfant. Ils produisent des articles plus fouillés, des dossiers de manière régulière pour permettre à la population de découvrir les maux, les problèmes auxquels sont confrontés les enfants », se réjouit Mamadou Doumbia, président du Ramedeci interrogé par politikafrique.info. M. Doumbia note comme second motif de satisfaction, la réduction des violations des droits enfants en matière de traitement médiatique. « Nous avons un observatoire qui fait une collecte quotidienne. Le Conseil National de la Presse, dans le cadre de son monitoring applique la charte ivoirienne des médias qui a été écrite par le Ramede-ci et les résultats nous montrent qu’il y a un recul de la transgression des droits des enfants au niveau des médias. Le droit à l’image et le droit à l’identité sont de plus en plus protégés. Dévoiler l’identité d’un enfant victime dans un article de presse lui portait préjudice. Mais aujourd’hui, ça va de mieux en mieux », est-il satisfait.
Mamadou Doumbia répond aux questions de politikafrique.info en marge d’une rencontre périodique organisée conjointement avec UNICEF Côte d’Ivoire. A cette activité, Dr. Aboubacar Kampo, représentant pays a présenté les priorités de l’organisme pour les quatre années à venir. Il s’agit notamment de la protection des enfants contre la violence et l’exploitation, l’éducation, la lutte contre le VIH et l’engagement des jeunes. Une manne financière de 83 milliards de francs CFA est prévue à cet effet.
Nesmon De Laure
La transgression des droits des enfants par les médias recule en Côte d’Ivoire. L’information est livrée ce 11 avril 2017 par le Réseau des acteurs des médias pour les droits des enfants en Côte d’Ivoire (Ramedeci). « Nous notons avec beaucoup de satisfaction des évolutions. D’abord au niveau de la thématique, ensuite l’évolution au niveau du traitement médiatique. Les sujets de l’enfance étaient traités en faits divers. Aujourd’hui nous notons une spécialisation des journalistes sur la question de l’enfant. Ils produisent des articles plus fouillés, des dossiers de manière régulière pour permettre à la population de découvrir les maux, les problèmes auxquels sont confrontés les enfants », se réjouit Mamadou Doumbia, président du Ramedeci interrogé par politikafrique.info. M. Doumbia note comme second motif de satisfaction, la réduction des violations des droits enfants en matière de traitement médiatique. « Nous avons un observatoire qui fait une collecte quotidienne. Le Conseil National de la Presse, dans le cadre de son monitoring applique la charte ivoirienne des médias qui a été écrite par le Ramede-ci et les résultats nous montrent qu’il y a un recul de la transgression des droits des enfants au niveau des médias. Le droit à l’image et le droit à l’identité sont de plus en plus protégés. Dévoiler l’identité d’un enfant victime dans un article de presse lui portait préjudice. Mais aujourd’hui, ça va de mieux en mieux », est-il satisfait.
Mamadou Doumbia répond aux questions de politikafrique.info en marge d’une rencontre périodique organisée conjointement avec UNICEF Côte d’Ivoire. A cette activité, Dr. Aboubacar Kampo, représentant pays a présenté les priorités de l’organisme pour les quatre années à venir. Il s’agit notamment de la protection des enfants contre la violence et l’exploitation, l’éducation, la lutte contre le VIH et l’engagement des jeunes. Une manne financière de 83 milliards de francs CFA est prévue à cet effet.
Nesmon De Laure