Du mardi, 11 au vendredi 14 avril 2017, la Clinique juridique de Bouaké, a organisé un atelier régional de renforcement des capacités des ONG de défense de droit de l’homme et des officier de la police judiciaire (OPJ) sur les mécanismes et instruments internationaux destinés à leur protection et sur leur rôle dans la défense et la protection des personnes vulnérables.
Cet atelier a été financé par l’USAID avec l’appui technique d’Avocat sans frontière (Asf) et de l’Association des femmes juristes de Côte d’Ivoire (Afjci). Il a connu la participation d’une vingtaine d’ONG et OPJ venus des régions de Gbêkê et du Hambol. Cet atelier a pour objectif, d’amener les participants à mieux comprendre et assumer leur rôle de défenseurs et de promoteurs des DDH. Ainsi, Il s’agit pour les participants durant cette formation, de se familiariser avec les notions fondamentales des DDH, aux mécanismes de protection des DDH et sur leur rôle dans la défense et la protection des personnes vulnérables. Lors de la cérémonie d’ouverture, Mme Moussa Corinne Adjo Marie épouse Koné, directrice de la Clinique juridique de Bouaké, a souligné que l’objectif de sa structure est de promouvoir les droits de l’homme dans le cadre du projet d’appui à l’amélioration de l’accès aux droits et à la justice en Côte d’Ivoire (Palaj). D’où l’organisation de la présente session de formation. Elle a ensuite remercié les partenaires financiers et techniques qui ont appuyé l’initiative. A la cérémonie d’ouverture, Ismaël Samassi, sous-préfet de Bouaké, s’est dit satisfait du déroulement de l’atelier. Tout en espérant que désormais, on sentira dans les actions des ONG de défense de droit de l’homme et des OPJ qu’ils ont reçu une formation sur les questions relatives aux DDH.
C’est pourquoi, il a indiqué « qu’au moment où les efforts sont en train d’être faits dans les domaines de la sécurité et du développement par le gouvernement ivoirien, il faut qu’il en soit ainsi dans le domaine des droits de l’homme. Il n’y a ni paix, ni sécurité, ni développement si les droits de l’homme ne sont pas connu et respectés».
Pour sa part, Madame Touré, coordinatrice nationale du Prodef a souhaité que cette formation serve en matière de défense et de promotion des droits de l’homme dans les régions de Gbêkê et du Hambol. Assurant par ailleurs les participants que le projet Prodef appuiera tout projet allant dans le sens du renforcement des capacités ONG dans la défense des droits de l’homme et des OPJ. Les participants quant à eux, ont recommandé la démultiplication de ce genre de formation pour favoriser la promotion et la protection des défenseurs de DDH dans lesdites régions
Aboubacar Al Syddick à Bouaké
Cet atelier a été financé par l’USAID avec l’appui technique d’Avocat sans frontière (Asf) et de l’Association des femmes juristes de Côte d’Ivoire (Afjci). Il a connu la participation d’une vingtaine d’ONG et OPJ venus des régions de Gbêkê et du Hambol. Cet atelier a pour objectif, d’amener les participants à mieux comprendre et assumer leur rôle de défenseurs et de promoteurs des DDH. Ainsi, Il s’agit pour les participants durant cette formation, de se familiariser avec les notions fondamentales des DDH, aux mécanismes de protection des DDH et sur leur rôle dans la défense et la protection des personnes vulnérables. Lors de la cérémonie d’ouverture, Mme Moussa Corinne Adjo Marie épouse Koné, directrice de la Clinique juridique de Bouaké, a souligné que l’objectif de sa structure est de promouvoir les droits de l’homme dans le cadre du projet d’appui à l’amélioration de l’accès aux droits et à la justice en Côte d’Ivoire (Palaj). D’où l’organisation de la présente session de formation. Elle a ensuite remercié les partenaires financiers et techniques qui ont appuyé l’initiative. A la cérémonie d’ouverture, Ismaël Samassi, sous-préfet de Bouaké, s’est dit satisfait du déroulement de l’atelier. Tout en espérant que désormais, on sentira dans les actions des ONG de défense de droit de l’homme et des OPJ qu’ils ont reçu une formation sur les questions relatives aux DDH.
C’est pourquoi, il a indiqué « qu’au moment où les efforts sont en train d’être faits dans les domaines de la sécurité et du développement par le gouvernement ivoirien, il faut qu’il en soit ainsi dans le domaine des droits de l’homme. Il n’y a ni paix, ni sécurité, ni développement si les droits de l’homme ne sont pas connu et respectés».
Pour sa part, Madame Touré, coordinatrice nationale du Prodef a souhaité que cette formation serve en matière de défense et de promotion des droits de l’homme dans les régions de Gbêkê et du Hambol. Assurant par ailleurs les participants que le projet Prodef appuiera tout projet allant dans le sens du renforcement des capacités ONG dans la défense des droits de l’homme et des OPJ. Les participants quant à eux, ont recommandé la démultiplication de ce genre de formation pour favoriser la promotion et la protection des défenseurs de DDH dans lesdites régions
Aboubacar Al Syddick à Bouaké