La chute des cours du cacao à compenser, les mutins à payer et les fonctionnaires grévistes à satisfaire sont autant d’obstacles à franchir si la Côte d’Ivoire ne veut pas trébucher dans sa course à l’émergence. C’est l’information que Radio France internationale (Rfi) a diffusée, le dimanche 9 avril dernier, lors de son journal quotidien destinée à l’Afrique.
Ces obstacles non seulement nécessitent des milliards Fcfa mais il y a aussi les anciens obstacles. Ces obstacles selon l’Organisation de coopération et de développement économique (Ocde) qui a mené une étude pour l’élaboration du « Plan stratégique Côte d’Ivoire pays émergent 2020 » sont la faiblesse de la compétitivité du secteur productif, la fragilité des capacités de financement de l’économie et l’insuffisance des infrastructures. Pour l’Ocde ces faiblesses retardent le développement national et entravent par la même occasion l’atteinte de l’émergence à l’horizon 2020. Pour remédier à ces insuffisances, le rapport préconise un plan d’actions comprenant 29 résultats attendus pour 77 actions à réaliser et des mesures de politiques concrètes et chiffrées assortis d’un chronogramme de réalisation. Le conseil des ministres qui s’est tenu, le 27 avril 2016, a adopté les conclusions de l’étude. Et un comité de suivi-évaluation conjoint Côte d’Ivoire-Ocde sera mis en place afin de permettre la mise en œuvre du plan d’actions.
Rfi, pour sa part, a annoncé que le gouvernement ivoirien, apparemment, compte sur le soutien de ses partenaires traditionnels dont le Fonds monétaire international (Fmi) qui doit bientôt étudier une demande d’appui budgétaire dans le but de faire face aux revendications des fonctionnaires, des mutins, compenser la baisse du cours du cacao sur le marché international avec en prime, la grogne des cacaoculteurs qui voient leurs revenus chuter de 36%. Parce que si rien n’est fait les remous sociaux peuvent avoir un impact sur l’économie ivoirienne sur le long terme selon plusieurs rapports et études économiques dont Bloomfield Investment et Moddy’s Investors.
Bloomfield Investment atteste que la Côte d’Ivoire reste un poids lourds économique, une valeur sûre dans le paysage ouest-africain pour les investisseurs avec une croissance stable aux alentours de 8% et d’un système financier solide.
GOMON Edmond
Ces obstacles non seulement nécessitent des milliards Fcfa mais il y a aussi les anciens obstacles. Ces obstacles selon l’Organisation de coopération et de développement économique (Ocde) qui a mené une étude pour l’élaboration du « Plan stratégique Côte d’Ivoire pays émergent 2020 » sont la faiblesse de la compétitivité du secteur productif, la fragilité des capacités de financement de l’économie et l’insuffisance des infrastructures. Pour l’Ocde ces faiblesses retardent le développement national et entravent par la même occasion l’atteinte de l’émergence à l’horizon 2020. Pour remédier à ces insuffisances, le rapport préconise un plan d’actions comprenant 29 résultats attendus pour 77 actions à réaliser et des mesures de politiques concrètes et chiffrées assortis d’un chronogramme de réalisation. Le conseil des ministres qui s’est tenu, le 27 avril 2016, a adopté les conclusions de l’étude. Et un comité de suivi-évaluation conjoint Côte d’Ivoire-Ocde sera mis en place afin de permettre la mise en œuvre du plan d’actions.
Rfi, pour sa part, a annoncé que le gouvernement ivoirien, apparemment, compte sur le soutien de ses partenaires traditionnels dont le Fonds monétaire international (Fmi) qui doit bientôt étudier une demande d’appui budgétaire dans le but de faire face aux revendications des fonctionnaires, des mutins, compenser la baisse du cours du cacao sur le marché international avec en prime, la grogne des cacaoculteurs qui voient leurs revenus chuter de 36%. Parce que si rien n’est fait les remous sociaux peuvent avoir un impact sur l’économie ivoirienne sur le long terme selon plusieurs rapports et études économiques dont Bloomfield Investment et Moddy’s Investors.
Bloomfield Investment atteste que la Côte d’Ivoire reste un poids lourds économique, une valeur sûre dans le paysage ouest-africain pour les investisseurs avec une croissance stable aux alentours de 8% et d’un système financier solide.
GOMON Edmond