Abidjan– L’auteur Alain Tailly publie, chez Frat Mat Editions, « Zohn Ziguélly », un roman de 145 pages dont Foua Ernest de Saint-Sauveur, ancien président de l’association des écrivains, dit, en quatrième de couverture, qu’il est une « sublime poésie » d’un univers foisonnant de misère et de rêve « faisant revivre l’atmosphère d’une époque… »
De « Coup dur » à « Coup d’Etat », les pages de la vie de Zohn Ziguéhi s’égrènent en 28 tableaux, tous des « Coups », riches de la qualité et de la richesse du verbe, de la précision de la description qui charme, de la grande documentation sur la vie à Adjamé et à Abidjan dans les années 80 jusqu’à fin 99.
L’œuvre est monumentale par la précision avec laquelle elle fait plonger dans l’univers, les mentalités, les lieux où il faut être et ceux qu’il vaut mieux éviter et surtout la vie de ces gens-là, leur appréhension et vécu quotidien de la vie, le rêve comme « une fleur sur un tas d’immondice », parfaitement sublimé par John Ziguéhi.
Extrait illustratif de la beauté de l’œuvre : « Pouvait-il décrire Flora, sans trahir la perfection de son corps de déesse ? Pouvait-on peindre les charmes de la ravissante métisse, sans écorcher l’harmonie de ses traits ? (…) Flora était une princesse sortie d’un conte de fées, une luciole qui brille en plein jour, une perle rare comme seuls savent en révéler les océans où l’on fait naufrage par amour (…) Il sentit des fourmillements dans son corps et une flamme vive qui embrasait tout son être » (PP 192-193).
« Homme de tous les talents », selon Radio France internationale (RFI), Docteur ès Lettres, Alain Tailly a déjà publié La comédie du développement, un recueil de chroniques chez PUCI et Le rêve du charpentier, des récits de vie chez NEI-CEDA.
aaa/akn/fmo
De « Coup dur » à « Coup d’Etat », les pages de la vie de Zohn Ziguéhi s’égrènent en 28 tableaux, tous des « Coups », riches de la qualité et de la richesse du verbe, de la précision de la description qui charme, de la grande documentation sur la vie à Adjamé et à Abidjan dans les années 80 jusqu’à fin 99.
L’œuvre est monumentale par la précision avec laquelle elle fait plonger dans l’univers, les mentalités, les lieux où il faut être et ceux qu’il vaut mieux éviter et surtout la vie de ces gens-là, leur appréhension et vécu quotidien de la vie, le rêve comme « une fleur sur un tas d’immondice », parfaitement sublimé par John Ziguéhi.
Extrait illustratif de la beauté de l’œuvre : « Pouvait-il décrire Flora, sans trahir la perfection de son corps de déesse ? Pouvait-on peindre les charmes de la ravissante métisse, sans écorcher l’harmonie de ses traits ? (…) Flora était une princesse sortie d’un conte de fées, une luciole qui brille en plein jour, une perle rare comme seuls savent en révéler les océans où l’on fait naufrage par amour (…) Il sentit des fourmillements dans son corps et une flamme vive qui embrasait tout son être » (PP 192-193).
« Homme de tous les talents », selon Radio France internationale (RFI), Docteur ès Lettres, Alain Tailly a déjà publié La comédie du développement, un recueil de chroniques chez PUCI et Le rêve du charpentier, des récits de vie chez NEI-CEDA.
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